Jai perdu le goût de vivre. J’ai perdu l’envie, je n’ai plus l’énergie. Je me désintéresse de ma propre existence, maintenant que j’ai perdu celle avec qui la partager. Le temps passe et je suis
Aprés10 ans de pharmacie et 26 de banque,et un burn out, j ai fait le point, j ai 56 ans et +++, j ai ressenti l envie et le besoin de me lancer dans ma propre aventure, sans personne pour me donner des ordres et me rendre malade. J ai crée mon entreprise, 7 mois de préparation et de persévérance, la tæche est rude.
Desidées pour retrouver votre joie de vivre. Il est important de savoir où vous voulez aller. Si tout va mal dans votre vie, et que vous vous focalisez sur tout en même temps, vous aurez envie de jeter l’éponge, car vos pensées seront si désordonnées que vous ne serez pas par où commencer. De la même façon, quand vous avez beaucoup
Lablessure d'amour propre peut être si vive, que certains en viennent presque à perdre toute estime d'eux-même, et jusqu'au goût de vivre. "J'ai raté mon bac avec 9,5, a écrit Khalid sur nos forums. Quelle agonie ! Le plus grave, c'est que tout mes amis l'ont eu sauf moi. Je préfère mourir que refaire une année !"
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xmj12. La peur de perdre est présente un peu partout, dans toutes les sphères et à tous les niveaux de notre vie. Longtemps j’ai eu peur, de tout et de rien. Peur de perdre un proche, perdre mon amour, perdre mon travail, la santé, perdre la tête, perdre mon confort, ma routine, perdre des objets auxquels je tiens. Perdre la vie. Le résultat de cette peur omniprésente chez moi cela a été la volonté de tout contrôler, la crispation, le stress permanent et puis finalement l’attentisme. Pendant de longs mois je n’ai pas pris de décisions pour ne pas avoir de changements à faire, j’ai eu peur à chaque appel de mes proches en pensant toujours à une mauvaise nouvelle, j’ai eu peur à chaque fois que l’amoureux claquait la porte de l’appartement derrière lui ou encore à chaque appel d’un numéro inconnu sur mon téléphone. Et puis le déclic Un jour j’ai repensé à une amie qui m’a dit une phrase très juste La peur n’empêche pas le danger ». Ce jour-là cette phrase n’avait pas fait tilt. Je m’étais contentée de hausser les épaules en répliquant que peut-être mais j’ai peur quand même ». Et puis cette phrase est revenue en force dans ma tête il y a deux ans maintenant et cela a été un vrai tournant. Est ce que notre peur de perdre quelque chose nous a déjà préservé de perdre cette chose ? En effet, avoir peur de mourir n’a jamais rendu personne immortel, avoir peur d’être malade ne renforce pas nos défenses immunitaires et avoir peur de perdre son emploi ne garantit pas un job à vie [ etc. ]. Bien sur la peur peut nous permettre d’être plus prudent. La peur c’est aussi une forme de protection qui est d’ailleurs souvent salvatrice. Mais certaines choses échappent à notre contrôle, à notre volonté, à nos décisions. Et dans ce cas la peur ne sert à rien, sauf à empêcher de vivre, pleinement. J’aime beaucoup cette phrase Donnez-moi la sérénité d’accepter les choses que je ne peux pas changer, le courage de changer celles que je peux et la sagesse de distinguer les premières des secondes » Marc Aurèle. Cela marche tout à fait avec la peur. La première chose que je fais donc lorsque j’ai peur de quelque chose c’est de me demander si j’ai un poids sur cette chose, si je peux y changer quelque chose, si elle résulte d’une de mes décisions ou si au contraire elle échappe totalement à ma volonté. Dans le premier cas j’essaye de tout mettre en place pour que cela se passe le mieux possible OU je prends une autre décision Dans le second je lâche prise. Parce que tout simplement, il n’y a rien d’autre à faire. Vous allez me dire ” ça parait simple mais ça ne l’est pas “. C’est vrai. Et à la fois le simple fait de me poser cette question à chaque évènement difficile / chaque imprévu ou chose qui n’allait pas comme il faut a littéralement changé ma vie. Oui parfois on a peur, non on ne maîtrise pas tout, mais c’est en cela que la vie est chouette non ? Alors on se lance, on se jette dans le monde !
Que faire quand on ne trouve plus le sens de sa vie ? Pour le retrouvez, vous devrez découvrir en vous la personne que vous êtes.“Ma vie n’a pas de sens. J’ai l’impression de dériver sans but. Je ne sais pas ce que je veux, rien ne me motive assez et je n’arrive pas à trouver mon chemin de vie.” Il est fort possible que ces mots touchent, car nous avons tous ressenti cela à un moment donné. Les pertes de vitesse et les crises existentielles sont inévitables à certains stades les crises existentielles naissent face à certaines situations douloureuses, comme une rupture amoureuse, la mort d’un être cher, une déception, la perte de travail…Toutes ces situations génératrices de douleur et de désespoir pourraient précipiter une crise existentielle. S’il est vrai que pour certaines personnes ce sont des crises temporaires, pour d’autres, ne pas trouver de sens à la vie devient un problème peut-être l’ampleur d’une crise existentielle de taille, vous vous sentez particulièrement perdu. Vous doutez de qui vous êtes, vous regardez vers l’avenir avec un sentiment d’insécurité qui favorise le sentiment d’incertitude. “Je me sens tellement perdu, que je sens que ma vie n’a pas de sens, que je ne trouverai pas d’issue.”Quel est le sens de la vie ?Le sens de la vie est un sujet objet de réflexions et de débats infinis à travers l’histoire. De nombreux professionnels écrivains, scientifiques, philosophes… ont tenté de répondre à cette grande question, sans que personne n’ait réussi à adopter une réponse sens de la vie fait référence au sens que chacun donne à ses expériences, aux buts et aux objectifs qu’il a en tête. Cela varie selon chaque personne chaque individu a besoin de trouver son propre sens à la vie en faisant un voyage à l’intérieur de son œuvre L’homme en quête de sens, le psychiatre et écrivain Viktor Frankl soutient que la vie a du sens en toutes circonstances, car dans les situations de souffrance et d’adversité, si une personne est capable de donner un sens à l’adversité, elle peut convertir sa tragédie en une réalisation et surmonter cette conséquent, pour Frankl, le sens de la vie est présent dans chaque personne et il attend d’être de nous écrit sa propre histoire. Nous décidons comment nous nous sentons dans certaines situations et nous configurons notre existence jour après vie n’a pas de sens, la tristesse m’envahitDans les moments où ma vie n’a pas de sens, je peux ressentir certaines émotions associées à cet état. Il est important de faire attention aux signaux d’alarme, car ces symptômes indiquent que quelque chose ne va pas. Il est alors fort possible que l’aide d’un professionnel soit nécessaire. Nous sommes susceptibles de connaître Un sentiment de tristesse. Nous nous sentons apathiques, la tristesse nous envahit sans que nous ne sachions pourquoi. De plus, certaines personnes pensent qu’elles n’ont aucune raison de ressentir cela, car elles ont un bon travail, une famille, des amis… Elles ressentent tout de même une tristesse qu’elles ne parviennent pas à expliquer. Je ne sais pas qui je suis. L’ignorance de soi se produit. On se dit que “ma vie n’a pas de sens et je me sens perdu, sans savoir qui je suis ni ce que je veux”. Anhédonie. Vous vous désintéressez des activités que vous aimiez auparavant. Vous n’aimez pas ce que vous faites. Rien n’est gratifiant. Par conséquent, un sentiment d’ennui naît face à toute action. Isolement social. La tristesse, le manque d’intérêt et la frustration face à l’insatisfaction de votre vie conduisent à un plus grand isolement social, car vous n’avez pas envie de vous lier aux autres. Avant une crise existentielle, faites un voyage à l’intérieurPrenez le temps de regarder à l’intérieur de vous-même, faites un voyage à l’intérieur. Il est possible que pendant ce voyage, vous deviez vous poser certaines questions à votre sujet. Ai-je besoin de changer ma vie ? Que ressens-je, que pense-je, que veux-je ? Est-ce que je me donne la priorité dont j’ai besoin ? Suis-je vraiment qui je veux être ?La recherche des réponses à ces questions peut nous guider sur notre chemin vers la connaissance de soi, car derrière une perte de sens dans la vie, peut se cacher une faible connaissance de soi nous ignorons qui nous sommes et ce que nous voulons. Pour trouver le sens de notre vie, il est alors probable que nous devions nous connecter avec notre intérieur et nous donner le courage et le temps dont nous avons vie peut-elle vraiment avoir un sens si nous ne savons pas qui nous sommes ? Le vide existentiel perte du sens de la vie implique la perte de contact avec soi-même, comme si petit à petit nous nous déconnections de nous-même et commencions à être spectateur de notre qui se passe, c’est que pendant que nous étions concentré sur un objectif ou une personne, nous n’avons pas prêté attention à ce qui se passait en nous. Par conséquent, dans une large mesure, avant de dire “ma vie n’a pas de sens”, regardez en vous-même, connectez-vous avec votre intérieur, avec votre propre être.“L’homme se réalise dans la même mesure où il s’engage à réaliser le sens de sa vie.” -Viktor Frankl-Cela pourrait vous intéresser ...
La dépression désigne une maladie dont la manifestation centrale est un état mental caractérisé par une lassitude importante, une dépréciation de soi, un pessimisme qui entraînent des perturbations importantes dans les rapports psycho-affectifs. La dépression est une maladie fréquente, qui affecte presque 20% des gens au cours de leur vie, et qui marque une rupture avec le fonctionnement psychologique habituel de la personne. Le risque évolutif le plus grave de cette pathologie est le suicide, en particulier quand la dépression n’a pas été détectée et prise en charge. Ainsi, près de 70% des personnes décédant par suicide en France souffraient d’une dépression le plus souvent non diagnostiquée et traitée. Il ne faut pas confondre la dépression avec ce qu’on appelle familièrement le coup de blues ou la déprime qui traduisent une tristesse passagère qui est normale dans une situation difficile. Les différents types de dépression Trouble dépressif majeur Cela signifie une dépression caractérisée avec de nombreux symptômes. Ce terme est imposé par le DSM Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders Une humeur triste dépressive Elle est décrite comme plus intense que la douleur d’un deuil. La personne est sans joie et opprimé, parfois il est incapable de percevoir tout sentiment. Chez les enfants et adolescents, cela peut se manifester par une irritabilité accrue. Anhédonie Une diminution du plaisir ou de l’intérêt pour toutes activités, y compris celles qui procurent du plaisir habituellement. Les habitudes se modifient, les passe-temps sont délaissés, tout semble monotone et vide, y compris les activités habituellement gratifiantes. Asthénie Une sensation de fatigue ou de diminution d’énergie. Des idées noires Une volonté de mourir, idées suicidaires actives, avec ou sans plan spécifique, finalement tentative de suicide. La Mélancolie Le terme mélancolie était utilisé en psychiatrie pour caractériser un état dépressif grave et aigu présentant de grands risques de passages à l’acte suicidaires. Il a aujourd’hui été délaissé et on utilise plus couramment l’expression dépression majeure. La dépression psychotique Elles se caractérisent par des délires de culpabilité, de honte universelle, de punition, d’appauvrissement mental, etc. La dépression hostile / agressive La personnalité du sujet semble avoir changé radicalement. Il est devenu plus agressif, plus impulsif, ses colères sont mal maitrisées, il a des violences soudaines et inhabituelles… Cela viendrait du fait que le sujet ne supporte plus l’idée d’être l’objet de remarques blessantes existantes ou supposées à son égard. La dépression masquée Les dépressions masquées ou hypocondriaques se caractérisent par une absence de symptômes de l’humeur dépressive avec une prépondérance des plaintes somatiques. Elles prennent souvent l’aspect d’une douleur atypique, continue, fixée, qui reste malgré la prescription d’antidouleur. Le sujet est souvent inconscient qu’il souffre moralement, c’est la raison pour laquelle il somatise ». La dépression anxieuse / agitée Ces sujets courent un risque suicidaire élevé. Contrairement aux caractéristiques courantes de la dépression, l’agitation psychique et motrice sont majeures, ils sont enclins à des crises de panique. La dépression saisonnière La dépression saisonnière s’installe généralement à l’automne ou au début de l’hiver et dure jusqu’au printemps. Les symptômes sont ceux de tout épisode dépressif tristesse permanente, perte d’intérêt générale, irritabilité, troubles de sommeil, perte ou gain de poids, pensées suicidaires. Les symptômes de la dépression saisonnière se distinguent de ceux des blues de l’hiver, lesquels ne nous empêchent pas de continuer à assumer nos activités quotidiennes. Ceux qui souffrent de dépression saisonnière sont très affectés dans leur quotidien, que ce soit sur le plan travail ou des relations. La dépression du bébé Des tableaux de dépression graves, pouvant mettre en jeu le pronostic vital, ont été décrits depuis les années 1950 chez les bébés, notamment après de brutales pertes parentales. René Spitz a ainsi défini l’hospitalisme, état survenant lors d’une séparation brutale avec les parents, passant par une phase de pleurnichements, puis une phase de protestation, glapissement, une perte rapide de poids, un arrêt du développement. Puis une troisième phase de désinvestissement du monde qui l’entoure et de retrait conduisant à ce que Spitz a nommé la dépression anaclitique. S’il se prolonge, il peut être à l’origine de troubles intellectuels, de difficultés psychologiques, avec une plus grande vulnérabilité aux séparations, réalisant des tableaux carentiels dont le risque évolutif est lourd. La dépression chez l’enfant La dépression existe chez l’enfant, mais elle a été repérée uniquement dans les années 1970. En effet, contrairement à l’adulte, l’enfant déprimé ne se plaint pas de tristesse ni de désespoir, et sa symptomatologie est peu bruyante. Une conférence de consensus française a permis d’en clarifier la symptomatologie et les principes d’interventions thérapeutiques. La dépression de l’adolescent La dépression à l’adolescence peut parfois être caractérisée par les mêmes symptômes que chez l’adulte. On observe un trouble de l’humeur avec un sentiment d’ennui, d’irritabilité. Des troubles somatiques et des troubles anxieux fréquemment associés phobie sociale, attaque de panique, trouble obsessionnel compulsif. La dépression de la personne âgée Les dépressions pseudo-démentielles se caractérisent par des troubles graves de la mémoire, de l’orientation, de la vigilance, du jugement, de régression affective, des performances intellectuelles. Voici nos conseils pour lutter contre la dépression Parlez-en à votre médecin, à un spécialiste, à un de vos amis, à votre famille. Rappelez-vous ce que vous appréciez en vous-même, vos atouts, vos succès, vos forces, et vos qualités. Evitez la passivité et l’isolement, sortez de chez vous pour aller vous promenez ou vous distraire. Planifiez des activités agréables en investissant sagement un minimum d’énergie pour obtenir un maximum de plaisirs. Développez vos relations sociales et affirmez-vous entre autres en apprenant à dire non et à exprimer des demandes de changement. Clarifiez vos priorités et planifiez un objectif qui vous en rapproche progressivement. Pour un deuil, permettez-vous de vivre votre deuil en pleurant afin de pouvoir par la suite poursuivre votre vie.
Dre Johanne BlaisClinicienneSes convictions J'ai envie de partager avec vous un moment de vie très difficile. Une de mes grandes amies a perdu son fils aîné il y a environ 10 jours. Il s'est enlevé la vie à l'âge trop jeune de 22 ans. Il s'appelait Frédéric. Il n'a laissé aucun écrit, ni aucun message justifiant ce geste. Rien ne laissait présager cela dans les semaines ou les mois précédents. Et pourtant, le voilà parti pour une autre de vous dire la peine que j'ai ressentie pour mon amie et pour tous ses proches. Le décès d'une personne qui nous est chère est un événement très pénible. Et lorsque cette personne chère choisit elle-même de mourir, c'est, je crois, encore plus difficile. Car en plus de la tristesse, des sentiments de colère, d'incompréhension, de confusion et de désarroi s'entremêlent. Nous voudrions comprendre le pourquoi d'un tel geste, les raisons qui font que la personne ressent un tel mal de vivre!Dans le cadre de la Semaine de prévention du suicide, il est important de nous rappeler que le suicide est une problématique importante qui touche tout le monde! Environ une personne sur quatre connaît quelqu'un qui s'est l'on regarde les statistiques, au Québec, nos taux de suicide ne sont pas plus élevés qu'ailleurs au Canada, mais ils sont plus élevés chez les jeunes. Ainsi, les taux de suicide les plus élevés se retrouvent chez les hommes âgés de 25 ans à 55 ans et chez les femmes âgées de 45 ans à 55 ans. Par ailleurs, il y a quatre fois plus de suicide chez les nombreux facteurs peuvent mener un individu à poser un tel geste. Ainsi, on sait qu'il y a des facteurs prédisposants qui sont reliés à l'histoire de vie de la personne, tel le fait de souffrir d'une dépression, par exemple, ou encore, reliés à la vie familiale et à l'entourage. Il y a aussi des facteurs contribuants, comme les gens qui font des abus de substances ou qui vivent dans un environnement familial instable. Et il y a les facteurs précipitants qui peuvent servir de déclencheurs, tels une peine d'amour, un échec scolaire, une humiliation…Mais le plus important est de faire sauter les tabous entourant le suicide et les problèmes de santé mentale, particulièrement la dépression. Combien de fois ai-je entendu dire que la personne qui s'était enlevé la vie avait posé un geste de lâcheté! Ou que les gens qui faisaient une dépression étaient des gens qui n'avaient pas de volonté! Comme si on choisissait d'être déprimé... Il faut voir les gens qui sont dans cette situation pour comprendre que c'est loin d'être une question de volonté. C'est pas mal plus complexe que cela. La dépression est une maladie au même titre que les maladies cardiovasculaires ou le cancer. Savez-vous que le risque de faire une dépression à vie est de 7 % à 12 % chez les hommes et d'environ 25 % chez les femmes?C'est pourquoi il faut en parler beaucoup, il faut pouvoir aider et soutenir les gens qui sont aux prises avec ce problème afin d'éviter qu'ils choisissent la solution finale et sans terminant, permettez-moi d'adresser un dernier mot à mon ami Frédéric. Frédéric, tu vas manquer à pas mal de monde, tu sais. Mais sois assuré que tu resteras présent à jamais dans nos vies. Nous t'embrassons très Fred!Paroles et musique Claude Fradette Voix Claude Fradette et Alice Fradette-VaillancourtRéférenceCentre de prévention du suicide de Québec Si vous avez besoin d'aide, consultez le site ou composez le article vous-a-t-il été utile ?À lire aussi
Bonsoir, ça fait un bon temps que je ne ressens absuloment rien, j'ai perdu le gout de vivre , je souhaite mourir même j ai tant essayer de me trouver des explications a ce que j travers j ai trouvé aucune et dans deux mois je passe le bac jai eu l habitude d être une exclnt élève mais cette année malheureusent je travers tant de malheurs que j ai aucune force ni morale ni physque juste j en peux plus , tout est mort en moi Quelle est votre réponse ? Réponse envoyée Nous validerons bientôt votre réponse pour ensuite la publier Une erreur s'est produite Merci de réessayer plus tard Meilleure réponse 27 MARS 2020 Cette réponse a été utile à 1 personnesBonjour, Mais non, tout n'est pas mort ... Mais vous avez traversé tant de malheurs que vous êtes sonnée. D'ailleurs, c'est dommage que vous ne disiez pas de quels malheurs il s'agit. Difficile de vous aider dans ces conditions. Courage, on peut se parler si vous le souhaitez. Bien à vous Sylvie Protassieff Psychologue clinicienne - Psychothérapeute – Psychanalyste Paris Pendant la période de confinement, j’assure mes séances par FaceTime, WhatsApp, Skype, Zoom et téléphone Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 1 réponse 27 MARS 2020 Cette réponse a été utile à 0 personnesNo pas, Merci pour votre message. Comment allez-vous? Il me semble primordial que vous puissiez en parler à Restant à votre écoute, MarieLiesse Leroux Psychologue clinicienne et arthérapeute par les arts-plastiques Paris et skype MarieLiesse Leroux Psy sur Paris 84 réponses 31 J'aime Réalisez une thérapie en ligne Contacter Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! Expliquez votre situation à nos psychologues Faites votre demande de manière anonyme et recevez une aide psychologique en 48h. 13450psychologues 15200questions 94950réponses
j ai perdu l envie de vivre