Parles paraboles, JĂ©sus appelle Ă  entrer dans le royaume. Elles sont comme des miroirs pour l’homme. Un miroir fait une projection de se que je suis et cela m’aide Ă  me transformer. Les miracles, les prodiges et les signes de JĂ©sus manifestent d’une autre façon que l Royaume de Dieu est prĂ©sent en jĂ©sus. ils tĂ©moignent que le PĂšre L’a envoyĂ©. Il n’y a pas de Unefois qu’on a le courage d’en parler, c’est un signe que le fruit a mĂ»ri : la pomme tombe de l’arbre dĂšs qu’elle a pris assez de poids. Ce n’est qu’ Ă  partir du moment oĂč une 1 Vous pratiquez avec les enfants le langage des signes. Au fond, la catĂ©chĂšse passe par deux canaux privilĂ©giĂ©s : La Parole de Dieu et le langage des signes. Vous cherchez Ă  Ă©veiller chez les enfants le goĂ»t de Dieu, le dĂ©sir de Dieu Ă  travers des signes. Hors, par exemple, Ă  Segonzac, pour la constitution de la nouvelle paroisse, j Lappel de tous les chrĂ©tiens plonge ses racines dans ces 2 commandements. De maniĂšre concrĂšte, comment savoir par oĂč commencer. En faisant tout ce que notre main trouve Ă  faire ! Et en recherchant sa volontĂ©. Jordan Raynor est entrepreneur, pasteur et auteur. Il propose trois questions Ă  se poser pour discerner l’appel de Dieu pour ATELIEROFFERT : 👍 âŹ‡ïžâŹ‡ïžâŹ‡ïž TROUVE TA MISSION DE VIE âŹ‡ïžâŹ‡ïžâŹ‡ïžDans cette vidĂ©o, nous allons voir comment rĂ©pondre Ă  RAnzqdn. Les paraboles ont Ă©tĂ© le moyen de choix de JĂ©sus pour enseigner les vĂ©ritĂ©s du royaume des Cieux. Ses paraboles sont comme les bijoux, petits mais d’une grande valeur. Les conceptions de JĂ©sus sur la vĂ©ritĂ© et son enseignement Ă©taient si vastes que le moindre dĂ©tail de la nature lui servait d’illustration. Toutes les scĂšnes de la vie journaliĂšre Ă©taient reliĂ©es Ă  quelque vĂ©ritĂ© essentielle, si bien que la nature entiĂšre se trouvait revĂȘtue des paraboles du MaĂźtre. JĂ©sus s’efforçait de trouver le chemin de tous les cƓurs. GrĂące Ă  un choix d’illustrations variĂ©es, il n’exposait pas seulement la vĂ©ritĂ© sous ses aspects divers, mais il l’adaptait aux diffĂ©rentes classes de ses auditeurs. Il attirait leur attention par des images prises dans la vie quotidienne. Personne ne pouvait dire qu’il avait Ă©tĂ© oubliĂ© ou laissĂ© de cĂŽtĂ©. Les plus humbles et les plus grands pĂ©cheurs entendaient une voix qui leur parlait avec tendresse et sympathie. Dans la parabole des ouvriers de la onziĂšme heure JĂ©sus voulut mettre en garde Ses disciples contre le danger de croire qu’ils auraient plus de privilĂšges que les autres du fait qu’ils avaient Ă©tĂ© les premiers appelĂ©s Ă  travailler dans la vigne. L’esprit Ă©goĂŻste n’est pas l’esprit du Ciel. La parabole condamne tout esprit de jalousie, d’envie et de suspicion, elle montre le vrai Ă©tat d’esprit du ciel l’altruisme, le dĂ©sintĂ©ressement. Qui reprĂ©sentent les ouvriers de la onziĂšme heure ? Que reprĂ©sente le salaire ? Il y a-t-il une application prophĂ©tique ? Etudions donc la Parabole verset par verset Matthieu 20 1-16 [1] Car le royaume des cieux est semblable Ă  un maĂźtre de maison qui sortit dĂšs le matin, afin de louer des ouvriers pour sa vigne. C’était la coutume Ă  l’époque, pour les hommes qui cherchaient du travail, de se rendre sur la place du marchĂ© et d’y attendre qu’un employeur vienne leur en proposer. Ainsi, dans notre parabole, nous voyons un maĂźtre de maison sortir Ă  diffĂ©rentes heures du jour pour embaucher des ouvriers. Les premiers engagĂ©s convinrent d’un certain salaire, et ceux qui furent engagĂ©s plus tard laissĂšrent la question de leur rĂ©tribution au bon vouloir de l’employeur. MaĂźtre de maison » = dans les paraboles de JĂ©sus le maitre de maison reprĂ©sente Dieu le PĂšre Dieu envoi ses ouvriers dans SA vigne pour la cultiver, pour en prendre soin, afin que la rĂ©colte soit bonne. Sa vigne » le monde. Dieu envoi Ses messagers dans le monde pour apporter la Bonne Nouvelle du Salut en Christ. Nous les chrĂ©tiens nous sommes tous des ouvriers du Seigneur ! [2] Il convint avec eux d’un denier par jour, et il les envoya Ă  sa vigne. Un denier par jour » c’est le salaire ou plutĂŽt la rĂ©compense qui leur a Ă©tĂ© proposĂ©. C’est le royaume des Cieux que tous les saints hĂ©riteront Matthieu 25 34 Venez, vous qui ĂȘtes bĂ©nis de mon PĂšre ; prenez possession du royaume qui vous a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© dĂšs la fondation du monde. » Dans la parabole il y a cinq appels celui-ci est le premier. Cet appel fut adressĂ© aux juifs, ils furent les premiers appelĂ©s Ă  entrer dans la vigne du Seigneur. [3] Il sortit vers la troisiĂšme heure, et il en vit d’autres qui Ă©taient sur la place sans rien faire. [4] Il leur dit Allez aussi Ă  ma vigne, et je vous donnerai ce qui sera raisonnable. Et ils y allĂšrent. Ceci constitue le deuxiĂšme appel. [5] Il sortit de nouveau vers la sixiĂšme heure et vers la neuviĂšme, et il fit de mĂȘme. Ce sont le troisiĂšme et le quatriĂšme appel divin Ă  rentrer dans la vigne. Ce fut l’appel de l’Eglise chrĂ©tienne tout au long des siĂšcles. Nous en reparlerons dans l’application prophĂ©tique. [6] Etant sorti vers la onziĂšme heure, il en trouva d’autres qui Ă©taient sur la place, et il leur dit Pourquoi vous tenez-vous ici toute la journĂ©e sans rien faire ? [7] Ils lui rĂ©pondirent C’est que personne ne nous a louĂ©s. Allez aussi Ă  ma vigne, leur dit-il. Aucun des ouvriers engagĂ©s tard dans la journĂ©e ne se trouvait lĂ  le matin. Ils n’avaient donc pas rejetĂ© l’appel. Ceux qui refusent et qui plus tard se repentent font certainement bien de se repentir, mais il est dangereux de prendre Ă  la lĂ©gĂšre le premier appel de la misĂ©ricorde divine. La onziĂšme heure est la derniĂšre de la journĂ©e car le jour a douze heures. Ceci constitue le cinquiĂšme et dernier appel pour aller travailler dans la vigne du Seigneur. [8] Quand le soir fut venu, le maĂźtre de la vigne dit Ă  son intendant Appelle les ouvriers, et paie-leur le salaire, en allant des derniers aux premiers. Il commence Ă  payer les derniers ! Tout ceci est une image prophĂ©tique du temps de la Fin, nous en reparlerons. [9] Ceux de la onziĂšme heure vinrent, et reçurent chacun un denier. Le denier tous reçoivent le mĂȘme salaire c’est le royaume des Cieux, la vie Ă©ternelle [10] Les premiers vinrent ensuite, croyant recevoir davantage ; mais ils reçurent aussi chacun un denier. Dans ses rapports avec les vignerons, le maĂźtre reprĂ©sente Dieu dans ses relations avec les hommes. Ses voies diffĂšrent des usages en vigueur ici-bas. Dans les affaires de ce monde, le salaire est proportionnĂ© Ă  la somme de travail que l’on accomplit. L’ouvrier ne s’attend Ă  recevoir que ce qu’il a gagnĂ©. Dans la parabole, au contraire, le Christ met en Ă©vidence les principes de son royaume, qui n’est pas de ce monde et n’est pas dirigĂ© par des lois humaines. N’est-ce pas le Seigneur qui dĂ©clare “Mes pensĂ©es ne sont pas vos pensĂ©es, et vos voies ne sont pas mes voies. 
 Autant les cieux sont Ă©levĂ©s au-dessus de la terre, autant mes voies sont Ă©levĂ©es au-dessus de vos voies, et mes pensĂ©es au-dessus de vos pensĂ©es” ? ÉsaĂŻe 55 8, 9. [11] En le recevant, ils murmurĂšrent contre le maĂźtre de la maison, [12] et dirent Ces derniers n’ont travaillĂ© qu’une heure, et tu les traites Ă  l’égal de nous, qui avons supportĂ© la fatigue du jour et la chaleur. Les premiers ouvriers engagĂ©s acceptĂšrent de travailler pour une certaine somme, qu’ils reçurent, sans plus, le soir venu. Ceux qui furent embauchĂ©s par la suite crurent Ă  cette promesse du maĂźtre “Je vous donnerai ce qui est raisonnable.” Matthieu 20 4. Ils eurent confiance en sa justice et en son Ă©quitĂ© ; ils ne demandĂšrent rien au sujet de leur salaire. Ils furent rĂ©compensĂ©s, non pas selon leur travail, mais selon la gĂ©nĂ©rositĂ© du maĂźtre. Ainsi Dieu dĂ©sire que nous nous en remettions Ă  celui qui justifie le pĂ©cheur. Il nous donne sa rĂ©compense, non d’aprĂšs nos mĂ©rites, mais “selon le dessein Ă©ternel qu’il a mis Ă  exĂ©cution par JĂ©sus-Christ notre Seigneur”. EphĂ©siens 3 11 “Il nous a sauvĂ©s, non Ă  cause des Ɠuvres de justice que nous aurions faites, mais selon sa misĂ©ricorde.” Tite 3 5 Il fera pour ceux qui mettent leur confiance en lui “infiniment au-delĂ  de tout ce que nous demandons ou pensons” EphĂ©siens 3 20. Les Juifs avaient Ă©tĂ© les premiers appelĂ©s Ă  entrer dans la vigne du Seigneur ; ils en conçurent de l’orgueil et devinrent des propres justes. Ils considĂ©rĂšrent leurs longues annĂ©es de service comme leur donnant le droit de recevoir une plus grande rĂ©compense que les autres. Ils s’exaspĂ©raient par-dessus tout lorsqu’on leur laissait entendre que les Gentils seraient l’objet de privilĂšges spirituels semblables aux leurs. [13] Il rĂ©pondit Ă  l’un d’eux Mon ami, je ne te fais pas tort ; n’es-tu pas convenu avec moi d’un denier ? [14] Prends ce qui te revient, et va-t’en. Je veux donner Ă  ce dernier autant qu’à toi. [15] Ne m’est-il pas permis de faire de mon bien ce que je veux ? Ou vois-tu de mauvais Ɠil que je sois bon ? Ce qui fait la valeur de notre service aux yeux de Dieu, ce n’est pas la somme de travail que nous accomplissons ni les rĂ©sultats visibles de nos efforts, mais l’esprit dans lequel nous agissons. Les ouvriers de la onziĂšme heure s’estimĂšrent heureux de l’occasion qui leur Ă©tait donnĂ©e de travailler ; leur cƓur vibrait de reconnaissance envers celui qui avait consenti Ă  les engager. Le soir venu, lorsque le maĂźtre leur accorda le salaire d’une journĂ©e entiĂšre, ils en furent grandement surpris, car ils ne pensaient pas mĂ©riter autant. La bontĂ© qu’ils lisaient sur son visage les remplissait de joie. Jamais ils n’oubliĂšrent sa gĂ©nĂ©rositĂ©, ni le salaire inespĂ©rĂ© qu’ils avaient reçu. Il en est de mĂȘme du pĂ©cheur qui s’est engagĂ© Ă  servir le MaĂźtre avec le sentiment de son indignitĂ©, alors que la onziĂšme heure du jour est dĂ©jĂ  arrivĂ©e. Son temps de service lui semble ĂȘtre bien court, et il a l’impression de ne mĂ©riter aucun salaire. Mais la pensĂ©e que Dieu l’a acceptĂ© remplit son cƓur de joie. Il travaille avec humilitĂ© et confiance, heureux d’ĂȘtre ouvrier avec le Christ. C’est un tel esprit que le Seigneur se plaĂźt Ă  honorer. JĂ©sus dĂ©sire que nous nous reposions sur lui sans nous inquiĂ©ter de la rĂ©compense. La question de la rĂ©tribution passe Ă  l’arriĂšre-plan, quand il habite dans nos cƓurs, car ce n’est pas le mobile qui nous fait agir. Accessoirement, il est vrai, nous devrions avoir Ă©gard Ă  la rĂ©munĂ©ration. Dieu dĂ©sire nous voir apprĂ©cier les bĂ©nĂ©dictions promises, mais il ne veut pas que nous soyons impatients de recevoir la rĂ©compense, ni que nous nous attendions Ă  une rĂ©tribution pour chaque devoir accompli. Il nous faut faire ce qui est bien sans nous inquiĂ©ter du gain que nous en retirerons. Le mobile de nos actions devrait ĂȘtre l’amour de Dieu et du prochain. [16] Ainsi les derniers seront les premiers, et les premiers seront les derniers. » Le premier et le dernier doivent avoir part Ă  la vie Ă©ternelle, et il conviendrait que le premier accueille joyeusement le dernier. Celui qui murmure Ă  propos de la rĂ©tribution accordĂ©e Ă  un autre oublie qu’il n’est lui-mĂȘme sauvĂ© que par grĂące. La parabole des ouvriers condamne tout esprit de jalousie et de suspicion. L’amour se rĂ©jouit de la vĂ©ritĂ© et ne fait pas de comparaison dictĂ©e par l’envie. Celui qui possĂšde l’amour ne compare que la beautĂ© du Christ avec les dĂ©fauts de son propre caractĂšre. Cette parabole est un avertissement pour tous les ouvriers du Seigneur. Quelles que soient l’anciennetĂ© de leurs services et l’importance de leurs labeurs, sans amour pour leurs frĂšres et sans humilitĂ© devant Dieu, ils ne sont rien. Il n’y a pas de religion dans la glorification du moi. Celui qui s’exalte lui-mĂȘme se trouvera privĂ© de la grĂące qui assure son efficacitĂ© au service du Christ. Celui qui se laisse aller Ă  l’orgueil ou Ă  la prĂ©somption n’accomplira qu’un travail dĂ©fectueux. Application prophĂ©tique de la parabole Le temps de travail est de 12 heures Jean 11 9 JĂ©sus rĂ©pondit N’y a-t-il pas douze heures au jour ? Si quelqu’un marche pendant le jour, il ne bronche point, parce qu’il voit la lumiĂšre de ce monde ; » Le temps pendant lequel Dieu a manifestĂ© Ses Ɠuvres » parmi les hommes Jean 9 4 Il faut que je fasse, tandis qu’il est jour, les Ɠuvres de celui qui m’a envoyĂ© ; la nuit vient, oĂč personne ne peut travailler. » C’est le temps pendant lequel Dieu a envoyĂ© des ouvriers dans SA vigne, oĂč Il a manifestĂ© Ses Ɠuvres parmi les hommes » depuis la sortie du peuple d’IsraĂ«l jusqu’au dernier message qui sera proclamĂ© lors de la manifestation de la puissance du Saint Esprit appelĂ© le Grand Cri en Apocalypse 18 1-4 un peu avant le Retour en Gloire de JĂ©sus. Cinq appels de Dieu Ă  l’humanitĂ© dans la durĂ©e de l’histoire. Remarquez bien que chaque appel dure trois heures sauf le dernier qui ne dure qu’une. Le dernier appel est trĂšs court ! Nous allons faire un diagramme avec douze heures Le maitre de maison sort embaucher des ouvriers Ă  des heures rĂ©guliĂšres 1- 3 – 6 – 9 – 11 1Ăšre heure = Ce fut la pĂ©riode du peuple d’IsraĂ«l, par lequel Dieu voulait monter au monde Son plan. Le premier appel de Dieu au monde Exode 3 9-10 Voici, les cris d’IsraĂ«l sont venus jusqu’à moi, et j’ai vu l’oppression que leur font souffrir les Egyptiens. [10] Maintenant, va, je t’enverrai auprĂšs de Pharaon, et tu feras sortir d’Egypte mon peuple, les enfants d’IsraĂ«l. » Dieu appel Moise et lui dit Va et fais sortir Mon peuple » ; Dieu s’est choisit un peuple au travers du quel Il va faire connaitre Sa volontĂ© pour toute l’humanitĂ©. Il va rĂ©vĂ©ler Son plan du sauvetage par un peuple choisit dans ce but. Ce fut le premier appel ! 3Ăšme heure = ce fut la pĂ©riode de l’église naissante, des apĂŽtres et disciples de JĂ©sus. Le deuxiĂšme appel de Dieu au monde par Son Eglise. Matthieu 28 19-20 Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du PĂšre, du Fils et du Saint-Esprit, [20] et enseignez-leur Ă  observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde. » Cette commission fut chargĂ©e Ă  l’Eglise naissante. Ce fut elle le dĂ©positaire de ce deuxiĂšme appel pour apporter un message pour l’humanitĂ©. 6Ăšme heure = ce fut la pĂ©riode de la persĂ©cution de l’Eglise. Le temps oĂč celle-ci est dans le dĂ©sert ; le troisiĂšme appel Apocalypse 11 3 Je donnerai Ă  mes deux tĂ©moins le pouvoir de prophĂ©tiser, revĂȘtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. » Pendant cette pĂ©riode de 1260 annĂ©es l’Eglise fut persĂ©cutĂ© par le dragon Satan par l’intermĂ©diaire de l’Eglise Romaine Apocalypse 12 13-14 Quand le dragon vit qu’il avait Ă©tĂ© prĂ©cipitĂ© sur la terre, il poursuivit la femme qui avait enfantĂ© l’enfant mĂąle. [14] Et les deux ailes du grand aigle furent donnĂ©es Ă  la femme, afin qu’elle s’envolĂąt au dĂ©sert, vers son lieu, oĂč elle est nourrie un temps, des temps, et la moitiĂ© d’un temps, loin de la face du serpent. » Cette pĂ©riode entre la 6Ăšme et la 9Ăšme heure fut la pĂ©riode la plus sombre de l’histoire. Elle est appelĂ©e Dark ages » en anglais qui traduit littĂ©ralement veut dire Ăąge sombre ». Pendant cette pĂ©riode la VĂ©ritable Eglise Ă©tait stigmatisĂ©, les deux tĂ©moins la Parole de Dieu » tĂ©moignaient revĂȘtus de sacs et de cendre c’est-Ă -dire dans l’humiliation. Mais mĂȘme pendant ce temps difficile pour l’Eglise, Dieu a eu Ses serviteurs fidĂšles qui ont proclamĂ© le message du salut au pĂ©ril de leur vie. Beaucoup parmi eux moururent sur le bĂ»cher. Un dĂ©tail intĂ©ressant Quand JĂ©sus Ă©tait clouĂ© sur la croix Matthieu nous dit Matthieu 27 45 Depuis la sixiĂšme heure jusqu’à la neuviĂšme, il y eut des tĂ©nĂšbres sur toute la terre. » Cette mĂȘme pĂ©riode prophĂ©tique des tĂ©nĂšbres eu lieu dans l’histoire entre la pĂ©riode de la 6Ăšme et la 9Ăšme heure de la parabole. 9Ăšme heure = Ce fut le mouvement millĂ©rite du 19Ăšme siĂšcle qui proclama le retour de JĂ©sus dans tous les continents. Avec la comprĂ©hension de la prophĂ©tie de Daniel au chapitre 8 concernant les 2300 soirs et matins, un mouvement mondial naquit qui, par la suite, allait proclamer le message de Trois anges d’Apocalypse 14 annonçant au monde le dĂ©but du jugement investigatif Apocalypse 14 6-7 Je vis un autre ange qui volait par le milieu du ciel, ayant un Evangile Ă©ternel, pour l’annoncer aux habitants de la terre, Ă  toute nation, Ă  toute tribu, Ă  toute langue, et Ă  tout peuple. [7] Il disait d’une voix forte Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l’heure de son jugement est venue ; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d’eaux. » Il s’agit d’un message universel oĂč Dieu invite les hommes et les femmes Ă  se prĂ©parer pour l’éternitĂ© Apocalypse 10 11 Puis on me dit Il faut que tu prophĂ©tises de nouveau sur beaucoup de peuples, de nations, de langues, et de rois. » Cet appel commença Ă  se faire entendre aux alentours de 1850. Ce le 4Ăšme appel de la parabole ! 11Ăšme heure = cet appel se situe encore dans le futur. Les ouvriers de la onziĂšme heure entendront l’Appel divin lors de la derniĂšre crise de notre monde. C’est la crise de la marque de la bĂȘte oĂč tout ĂȘtre humain devra prendre une dĂ©cision soit pour le Seigneur soit pour le monde. Ce sera l’appel dĂ©crit en Apocalypse 18. Ce message sera proclamĂ© avec l’effusion de l’Esprit Saint la pluie de l’arriĂšre-saison Apocalypse 18 1-4 AprĂšs cela, je vis descendre du ciel un autre ange, qui avait une grande autoritĂ© ; et la terre fut Ă©clairĂ©e de sa gloire. [2] Il cria d’une voix forte, disant Elle est tombĂ©e, elle est tombĂ©e, Babylone la grande ! Elle est devenue une habitation de dĂ©mons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux, [3] parce que toutes les nations ont bu du vin de la fureur de son impudicitĂ©, et que les rois de la terre se sont livrĂ©s avec elle Ă  l’impudicitĂ©, et que les marchands de la terre se sont enrichis par la puissance de son luxe. [4] Et j’entendis du ciel une autre voix qui disait Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point Ă  ses pĂ©chĂ©s, et que vous n’ayez point de part Ă  ses flĂ©aux. » Ce sera le dernier message de Dieu dans lequel Il invite Ses enfant Ă  sortir de Babylone, un systĂšme religieux faux et corrompu. Ce message sera prĂȘchĂ© lors de la crise finale de la marque de la bĂȘte » ou 666 » En vue des Ă©vĂ©nements mondiaux nous pouvons prĂ©sager l’accomplissement de ce dernier appel dans un avenir proche. Nous devons nous prĂ©parer, prĂ©parer nos cƓurs, pour la rĂ©ception de la pluie de l’Esprit. Purifions nos cƓurs avec l’aide de Dieu pour que nos vases soient prĂȘts Ă  ĂȘtre remplis par le Saint Esprit. Pourquoi les derniers seront les premiers ? Les ouvriers de la onziĂšme heure seront les premiers Ă  ĂȘtre revĂȘtus de l’immortalitĂ©, ils seront les premiers Ă  participer de la vie Ă©ternelle ils recevront la pluie de l’arriĂšre-saison, ils seront jugĂ©s et vivront un temps sans intercesseur. Ils ne passeront pas par la mort. Dans ce sens les derniers seront les premiers. Ce n’est pas le temps que nous pouvons consacrer Ă  la tĂąche qui nous rend agrĂ©ables Ă  Dieu, mais notre empressement Ă  le servir et notre fidĂ©litĂ©. Notre vie doit se caractĂ©riser par l’abnĂ©gation. Le moindre effort, fait en toute sincĂ©ritĂ© et avec dĂ©sintĂ©ressement, plaĂźt beaucoup plus au Seigneur que de grands exploits entachĂ©s d’égoĂŻsme. Dieu nous sonde pour voir si l’esprit du Christ habite en nous, et il note jusqu’à quel point nos actes reflĂštent son image. A ses yeux, notre amour et notre fidĂ©litĂ© dans la tĂąche comptent plus que la somme de travail accompli. Le Christ ne sera l’hĂŽte de notre Ăąme et Dieu ne nous reconnaĂźtra pour ses ouvriers qu’à partir du moment oĂč notre Ă©goĂŻsme sera vaincu, oĂč nous cesserons de lutter pour la suprĂ©matie, oĂč notre cƓur sera rempli de reconnaissance et oĂč l’amour parfumera notre vie. Si court et si effacĂ© que soit notre service, si nous suivons JĂ©sus avec foi, nous ne serons pas frustrĂ©s de la rĂ©compense. Les plus humbles et les plus faibles peuvent recevoir ce que les plus grands et les plus sages ne sauraient gagner. Les portes d’or du ciel ne s’ouvriront jamais devant les orgueilleux, ni devant les hautains, mais elles cĂ©deront Ă  la timide poussĂ©e du petit enfant. Magnifique sera la rĂ©compense de la grĂące rĂ©servĂ©e Ă  ceux qui auront travaillĂ© pour Dieu dans la simplicitĂ© de la foi et de l’amour ! En conclusion Dans le Royaume des cieux il n’y a pas de jalousie, ni d’envie, ni de lutte pour la suprĂ©matie. Il n’y a ni premier ni dernier. C’est un Royaume basĂ© sur le principe le plus Ă©levĂ© qui soi l’amour divin, un amour qui se donne pour l’autre, qui ne cherche pas son intĂ©rĂȘt personnel. Dieu nous appelle, ores et dĂ©jĂ  Ă  vivre par ce principe l’amour de Dieu et l’amour du prochain. Que notre amour et notre service du prochain puisse servir de tĂ©moignage dans ce monde de plus en plus matĂ©rialiste et incrĂ©dule. “DĂ©couvrir la vĂ©ritĂ© sur” est une chaĂźne Youtube partageant les vĂ©ritĂ©s bibliques. Dans histoire de l’humanitĂ©, l’on a toujours pensĂ© que les chiffres font partie du rationnel et des sciences exactes. Par contre, ceux-ci ont un cĂŽtĂ© sacrĂ©, mystique ou encore occulte, selon l’entendement qu’on leur attribue. Mieux, on dira qu’ils ont une signification divine et alerte un appelĂ© spirituel. DĂ©couvrez ci-dessous quelques un des signes d’un appel spirituel ! Une sĂ©quence de signes d’un appel spirituel Si vous voyez les sĂ©quences de numĂ©ros comme les 11 11, 22 22 et 33 33, en rĂȘve, sur une montre, une piĂšce d’identité  Faites attention, car vous ĂȘtes surement en face d’un message universel. La rĂ©pĂ©tition de la sĂ©quence de chiffres 11 11, 22 22 et 33 33 sont des signes d’un appel spirituel qui vient des codes occultes de Sirius, Orion et PlĂ©iades, pour que les personnes se connectent avec le MOI supĂ©rieur ». Plusieurs personnes reçoivent cet appel, mais trĂšs peu d’entre elles en comprennent le sens et Ă©tablissent la communication comme il se doit. Les sĂ©quences et leurs sens pour une appelĂ© spirituel 11 11 Restez vigilant ! Pensez seulement Ă  ce que vous voulez et vous dĂ©sirez. Ne faites surtout pas le contraire ! Cette sĂ©quence est la preuve de qu’il y a toujours une autre chance d’apprendre Ă  se dĂ©tacher des choses et que nos pensĂ©es se manifestent plus rapidement qu’avant. Cela confirme aussi que les anges sont avec vous en tout temps et prĂȘts Ă  vous aider. Quand vous regardez votre montre et vous voyez s’afficher 11 11, cela signifie que le moment est venu pour vous de vous spiritualiser et de prendre le chemin de l’élĂ©vation spirituelle. Cette sĂ©quence est un signe avant-coureur de votre Ă©tat de santĂ© futur, une maniĂšre de vous avertir sur l’imminence d’une maladie grave, d’un accident. C’est aussi le dernier appel pour Ă©voluer en amour
 22 22 Cette sĂ©quence se prĂ©sente comme la matĂ©rialisation dans un futur proche de toutes vos idĂ©es, dĂ©sirs et projets. Tout se dĂ©roulera bien ! Concentrez-vous sur votre bien-ĂȘtre quotidien, et ayez toujours de bonnes pensĂ©es. Mais si vous regardez votre montre et vous voyez s’afficher 22 22, C’est l’un des signes d’un appel spirituel pour une attention particuliĂšre sur votre Ă©tat de santĂ©. Prenez soin de vous ! Nourrissez-vous bien, pratiquez du sport, dormez bien et, surtout, libĂ©rez-vous des dĂ©pendances Ă©motionnelles, comme la crainte, la colĂšre, la douleur et la tristesse. 33 33 Cette sĂ©quence signifie que les maĂźtres spirituels, comme JĂ©sus, la Sainte Marie, le Quan Yin et la Yogananda sont ensembles et avec vous ! Dans tous les cas, le calme et la rĂ©flexion doivent nous guider quand l’on se retrouve face Ă  une sĂ©quence de numĂ©ros similaires tels que prĂ©sentĂ©s ci-dessus. A lire aussi La numĂ©rologie du bonheur mois par mois. A quoi servent les rĂȘves ? 5 techniques de purification spirituelle du corps. Lettre ouverte aux jeunes, Pastoralia Mai 1996Quand Dieu appelleSouvent des jeunes me demandent "Comment ĂȘtes-vous devenu prĂȘtre ?" Jamais je ne parviens Ă  rĂ©pondre. Ce qui m’étonne beaucoup. Un cardinal qui ne sait pas comment il est devenu prĂȘtre... N’empĂȘche, c’est la vĂ©ritĂ©. Je n’ai jamais Ă©tĂ© moi-mĂȘme Ă  la racine de ma vocation et je ne me suis jamais dit "VoilĂ  ce que je veux faire." Ce qui aurait Ă©tĂ© le cas si j’avais voulu devenir mĂ©decin. L’impression que j’ai, c’est que "cela" m’a habitĂ© Ă  l’improviste, venant de je ne sais oĂč, sans que ce soit toujours de mon goĂ»t. Quand j’étais petit, cela me tracassait et je ne pouvais m’en dĂ©faire. Une vocation fond sur vous, elle s’installe plus ou moins consciemment. Elle vous guette, se prĂ©sente Ă  l’improviste et, parfois, elle vous fait souffrir. Qu’importent les protestations "Pourquoi moi ? Je n’ai pas envie", elle revient coup sur coup. Vous butez contre elle sans pouvoir vous en un virusPour ma part, la vocation m’a frappĂ© comme un virus, sans que je puisse faire quoi que ce soit. C’est la traduction, en langage humain, du fait que Dieu nous cherche et que c’est plus fort que nous. Je suis donc incapable de dire pourquoi ni comment, car c’est lui qui en est l’origine. Il y a dans toute vocation des Ă©lĂ©ments qui font comprendre qu’elle est dans l’air, que Dieu a un projet Ă  notre indicesSi tu ne retrouves pas en toi tous les Ă©lĂ©ments que je vais Ă©voquer, il ne faut pas croire que tu es anormal. Ce sont quelques indices qui m’ont frappĂ©. Je les ai retrouvĂ©s aussi chez d’autres. Avoir une certaine sensibilitĂ© pour des choses qui laissent les autres indiffĂ©rents. Par exemple, un goĂ»t pour la fraĂźcheur des paroles de JĂ©sus. Certaines de ses paroles ne te quittent plus. Tu les rĂ©entends toujours. "Personne n’a un plus grand amour que celui qui donne sa vie pour ses amis." De tels passages, qui ne disent pas grand chose Ă  d’autres, te touchent. Quand tu t’en aperçois, il faut y prĂȘter un penchant pour l’intĂ©rioritĂ©, une tendresse particuliĂšre qui se vit en silence. Il se peut que parfois tu n’en aies pas envie, mais au plus profond de toi, cet appel revient "ArrĂȘte-toi un instant, rĂ©flĂ©chis ! Ne laisse pas passer le temps dans la dispersion." Puis tu te dis "Si je suivais une session biblique ? Si j’allais dans une abbaye ?" SubjuguĂ© par le Christ, tu t’inscris sans ĂȘtre sĂ»r d’y aller. Et finalement, tu y envie de regarder plus longtemps, de rester tranquille, de prĂȘter attention Ă  certaines choses et de donner du temps, par exemple, Ă  une formation. Tu es content d’entendre parler quelqu’un, de lire, d’entendre Ă  la radio ou Ă  la tĂ©lĂ©vision quelque chose de profond. "VoilĂ  ce que je dois Ă©couter", penses-tu. Si cette envie te prend, fais attention, car il se passe quelque en soi un profond sentiment de "compassion" ne pouvoir accepter que des gens soient dans le malheur ou la misĂšre ; les aider, souvent dans le plus grand secret... Tout en Ă©tant mĂȘme un peu honteux Ă  l’idĂ©e qu’on puisse le savoir parce qu’on pourrait te prendre pour un naĂŻf, un inadaptĂ© Ă  ce monde-ci... Cette compassion peut s’étendre Ă  ceux qui sont psychiquement malades, qui ont du mal Ă  rester debout dans la vie, qui perdent l’espoir. Pouvoir les Ă©couter durant des heures, au point que tes amis te disent "Tu perds ton temps ! Il n’y a rien Ă  faire." Avoir une certaine dĂ©licatesse envers les enfants, les petits et les faibles, les handicapĂ©s, envers ceux qui ne peuvent pas suivre et sont exclus. Enfin - et c’est l’élĂ©ment le plus profond - pouvoir compatir avec ceux qui sont ancrĂ©s dans le mal, qui sont esclaves de la drogue, de la sexualitĂ© non contrĂŽlĂ©e ; qui mĂšnent une vie superficielle, parmi les bĂȘtises et l’argent. Alors que les autres les trouvent bĂȘtes et prĂ©disent une issue fatale, tu te dis "Je ne puis manquer de compassion." Si tu as ces trois formes de compassion, avec ceux qui souffrent, avec les "petits" et avec les pĂ©cheurs, elles sont des indices que Dieu a quelque projet sur toi. Etre sensible Ă  ce qui n’intĂ©resse pas la plupart des gens. Par exemple, avoir une admiration pour ceux qui vivent dans la sobriĂ©tĂ© et la pauvretĂ©, pour François d’Assise, pour ceux et celles qui se dĂ©vouent dans le tiers ou le quart monde. LĂ  oĂč tout le monde prĂ©tend qu’il faut avoir de l’argent pour vivre - ce qui n’est pas faux - tu te sens attirĂ© par le fait de n’avoir rien ou peu. Cela ne signifie pas encore que tu vas vivre ainsi, ni que tu en sois capable, mais tu estimes qu’il s’agit lĂ  d’une vie meilleure et plus profonde que beaucoup d’ en va de mĂȘme du fait de ne pas se marier. Tout le monde dit "Cela n’a pas de sens." Toi aussi, tu t’interroges. Et tu te dis "Il y a quelque chose de beau lĂ -dedans." Cela ne signifie pas que tu es capable de vivre le cĂ©libat, mais que tu en perçois le cĂŽtĂ© merveilleux et le charme. Et je remarque qu’il s’agit lĂ  de quelque chose de trĂšs dĂ©licat qu’on peut dĂ©truire une admiration croissante pour des gens qui sont sensibles, dociles, prĂȘts Ă  Ă©couter. Ils disent souvent "oui", lĂ  oĂč on dit d’eux qu’ils sont naĂŻfs. Tu te dis "Je n’en suis peut-ĂȘtre pas capable, mais il a raison." Il se peut que tu trouves en toi cette sensibilitĂ© aux valeurs Ă©vangĂ©liques, qui vont Ă  rebrousse-poil et ne sont pas naturelles la pauvretĂ©, la chastetĂ© et l’obĂ©issance. Tous n’ont pas cette sensibilitĂ©. Si tu l’as, alors un feu s’allume. Tu te dis "OĂč cela va-t-il me mener ?" Car ce n’est pas toi qui as dĂ©posĂ© ces valeurs dans ton en soi l’audace du risque, contrairement Ă  ceux qui veulent ĂȘtre assurĂ©s contre tout et ĂȘtre sĂ»rs de tout avant d’agir. Ils calculent bien, sont raisonnables, intelligents et n’ont que du bon sens... Si tu ne te sens pas Ă  l’aise lĂ -dedans et si tu trouves que, sans risque, la vie est mortelle, un feu s’allume et te permet d’ en soi l’amour de l’Église. J’aime l’Église, en un temps oĂč l’on dit beaucoup de mal d’elle et oĂč, moi-mĂȘme, j’aperçois beaucoup de fautes en elle, des choses dont je souffre et qui font que je deviens dur pour elle, bien que je ne puisse m’en passer. C’est un peu ce qu’on peut ressentir envers ses parents "Ils m’ennuyent avec leurs manies, mais malgrĂ© tout, ce serait trĂšs triste s’ils mouraient." Il arrive qu’on sorte devant sa mĂšre un tas de critiques et que, le jour de son anniversaire, on mette une lettre sur son lit pour lui dire combien on l’aime ! Il en va de mĂȘme de l’Église. Je ne sais vraiment pas si je pourrais vivre sans elle. C’est, pour ainsi dire, un rapport "haine-amour". Quand tu Ă©prouves de tels sentiments, un feu s’allume Ă  que ce que l’on aime tant - la priĂšre, les valeurs Ă©vangĂ©liques qui vont Ă  rebrousse-poil, le risque, la compassion envers les souffrants, les enfants et les pĂ©cheurs - les autres l’aiment aussi. S’attrister quand ils ne ressentent pas un tel amour et donc vouloir le partager. Parfois je suis malheureux parce que les choses que j’admire et pour lesquelles j’ai de la sympathie ne remportent pas la sympathie des autres. Je me sens alors Ă©tranger parmi eux. Au fond, je voudrais que tous soient de pareils Ă©trangers ! Etre triste quand on ne reçoit pas de rĂ©ponse et lorsque tout tombe Ă  l’eau. Quand tu as cette tristesse ridicule, parce que si peu de gens la ressentent, alors un feu s’ admettre facilement ses torts et les avouer spontanĂ©ment. MĂȘme si cela ne se fait pas sans mal, je ne suis tranquille que quand j’ai pu avouer que je ne suis qu’un pauvre petit homme et que j’ai mal fait. Ne pas se ranger parmi ceux qui disent "Je me suis trompĂ©, mais il ne faut pas qu’ils viennent me le dire. Je le sais dĂ©jĂ  tout seul !" Venir Ă  la lumiĂšreVoilĂ  un certain nombre d’élĂ©ments qui ont certainement jouĂ© chez moi. Si tu les retrouves en toi, ils te feront prendre conscience que Dieu te demande peut-ĂȘtre quelque chose et qu’il s’occupe donc un peu plus de toi. Il n’y a pas lĂ  de quoi te vanter, mais de quoi te dire "Puis-je mettre tout cela dans le placard ?" Ou plutĂŽt "Comment m’orienter ?"Si ce n’est pas encore clair pour toi, il ne faut pas tout cacher dans l’armoire, car tu seras malheureux et tu te diras, plus tard Je ne suis pas devenu ce que j’aurais dĂ»." Tu n’en mourras pas pour autant, mais tu garderas un petit nuage dans la tĂȘte qui te dira "Il aurait dĂ» faire beau, mais il y a du brouillard."Je t’ai indiquĂ© comment des feux s’allument. Ils sont comme des Ă©toiles au firmament. Il est important de les tenir Ă  l’Ɠil et de t’orienter Ă  partir de tout cela fait "Tilt"...Supposons que tu ressentes un certain nombre de ces Ă©lĂ©ments et que tu te dises "Je ne les cacherai pas." Que faire alors ?CĂ©der Ă  l’attrait de la priĂšre et du silencePlanifie dans ta vie des moments de rĂ©flexion, de mĂ©ditation, d’oraison ; profite de ce qui t’est offert, mais mets-toi aussi en recherche ; passe un jour dans une abbaye, participe Ă  des sessions bibliques ; arrĂȘte-toi et brise le rythme travail-loisirs-repos. Cet appel ne peut pas mourir dans l’ Ă  l’ÉvangilePrends l’Évangile et lis-en une page ou deux ; ou simplement, ouvre-le et lis ne fĂ»t-ce qu’une ligne ou deux. Tu peux te rendre vulnĂ©rable Ă  la parole de Dieu durant l’eucharistie, Ă  l’église ou n’importe oĂč. Remue une phrase et les sacrements et s’engagerFrĂ©quente l’eucharistie et va confesser tes pĂ©chĂ©s. Ensuite, engage-toi sur le plan social et Ă©vangĂ©lique. Fais plus que la normale, le raisonnable, le convenable. Dis-toi Ă  tout instant "Je veux faire quelque chose de plus, il faut que cela dĂ©borde." L’Évangile parle d’une justice surabondante. JĂ©sus dit "Si tu ne fais pas ce que tout le monde fait, les paĂŻens le font aussi. OĂč se situe alors ce qui t’est propre ?" Au lieu de ne pardonner que les fautes d’inadvertance commises envers toi - une porte restĂ©e ouverte qui t’a coĂ»tĂ© un rhume - pardonne les vraies fautes intentionnelles. JĂ©sus dirait "Fais ce que tous ne font pas." Si tu dis "Je ferais juste ce qu’il faut", alors tu mets ta vocation dans le placard. Rejoindre d’autresRejoins d’autres personnes qui regardent les mĂȘmes Ă©toiles au firmament pour se guider, qui ont une mĂȘme sensibilitĂ©. Si tu restes seul avec ta lampe Ă  huile allumĂ©e, elle va s’éteindre. On a raison de dire qu’un chrĂ©tien qui est seul aujourd’hui est en danger de mort. Que ceux qui ont une vocation, quelle qu’elle soit, se regroupent ; qu’ils se rassemblent pour prier, rĂ©flĂ©chir, lire l’Évangile ensemble, s’encourager mutuellement et vivre l’eucharistie. Nous sommes si isolĂ©s dans le monde dĂšs que nous nous intĂ©ressons Ă  Dieu et Ă  l’Évangile, que, seuls, nous ne pouvons tenir. Heureux ceux qui ont un ami, une amie ou des amis Ă  qui ils peuvent parler de ces Ă  quelqu’unCherche de l’aide chez quelqu’un de plus ĂągĂ© qui peut t’aider. Il ne faut pas nĂ©cessairement que ce soit un prĂȘtre. Ce peut l’ĂȘtre, et peut-ĂȘtre de prĂ©fĂ©rence, non pas parce que le prĂȘtre est plus saint, mais parce qu’il a Ă©tĂ© formĂ© pour aider les autres. Personne n’est juge dans son propre cas. Pour savoir ce que Dieu veut de toi, parle Ă  quelqu’un. Si tu ne parles qu’à toi-mĂȘme, tu seras toujours d’accord avec toi-mĂȘme. Ou bien tu te dĂ©courageras "Je suis seul Ă  me poser les questions et Ă  me donner les rĂ©ponses." Un interlocuteur peut t’aider et te rĂ©pondre de façon plus objective. C’est important et c’est une preuve de portent en eux-mĂȘmes une vocation, mais n’en parlent jamais. C’est que le fruit n’est pas mĂ»r. Une fois qu’on a le courage d’en parler, c’est un signe que le fruit a mĂ»ri la pomme tombe de l’arbre dĂšs qu’elle a pris assez de n’est qu’à partir du moment oĂč une chose a Ă©tĂ© discutĂ©e avec quelqu’un qu’elle est authentique. Il en va de mĂȘme dans l’aveu. Aussi longtemps qu’on pense "Je n’aurais pas dĂ» faire cela, je le regrette", on n’est pas encore parvenu Ă  maturitĂ©. Mais lorsqu’on dit Ă  quelqu’un "Je l’ai fait et je le confesse", alors on se reconnaĂźt coupable et on est mĂ»r. Ne pas parler veut dire "Ce n’est pas encore nĂ©, mĂȘme si c’est vrai." Ce n’est qu’en l’exprimant que cela mouillerSi tu trouves en toi tout ce dont je viens de parler, et si tu en as parlĂ© Ă  quelqu’un, tu ne peux savoir si tu as la vocation que quand tu oses sauter dans le noir "J’entre dans ce mode de vie avec intuition et j’essaie..." Il faut vraiment l’expĂ©rimenter. Tu ne pourras jamais vĂ©rifier une vocation par correspondance !Aller voirQuand JĂ©sus appelle ses premiers disciples, il prend l’initiative "Que cherchez-vous ?" Ils lui rĂ©pondent "MaĂźtre, oĂč habites-tu ? Donne-nous ton adresse." JĂ©sus dit "Venez et voyez !" Mais il ne donne ni adresse, ni explication. Il appelle. Ils allĂšrent et regardĂšrent, dit l’Évangile. Et ils restĂšrent un jour. VoilĂ  la vocation qui t’attend "Viens et vois !" Dix lignes plus loin dans le mĂȘme Évangile, Philippe rencontre NathanaĂ«l et dit "J’ai trouvĂ© JĂ©sus, le fils de Joseph de Nazareth." Il dĂ©cline sa carte d’identitĂ© son nom, celui de son pĂšre, sa que dit NathanaĂ«l ? "Rien de bon ne peut sortir de Nazareth ! Cela n’ira pas." Que fait alors Philippe ? Il reprend la mĂ©thode de JĂ©sus "Viens voir !" NathanaĂ«l va et regarde. JĂ©sus lui dit "Je te voyais assis sous le figuier avant que Philippe ne t’appelle." - "Comment as-tu pu me voir sous le figuier ?" - "Je t’ai vu, dit JĂ©sus, tu es un vrai IsraĂ©lite, tu ne t’en laisses pas conter !" NathanaĂ«l abandonne la partie et dit "Seigneur, tu es le Fils de Dieu, le roi d’IsraĂ«l" Jn 1, 49. C’est la plus grande confession jamais me semble alors que le seul moyen de savoir si tu as une vocation, c'est de venir voir. Le reste n'est que prĂ©paration. Si tu y vas, des feux brilleront. Il arrive parfois que nous cherchions dĂ©sespĂ©rĂ©ment une indication de la part du Seigneur et nous pensons ne pas la trouver. Pourtant, les signes de Dieu ne sont pas si difficiles Ă  dĂ©chiffrer
 Le signe est toujours signe de quelque chose ». Le travail de l’intelligence et de la foi consiste donc Ă  remonter du signe Ă  la rĂ©alitĂ© rĂ©vĂ©lĂ©e par le signe. Ainsi la CrĂ©ation nous renvoie-t-elle au CrĂ©ateur. L’Imitation de JĂ©sus-Christ prĂ©cise qu’ il n’y a pas de crĂ©ature si petite, si humble soit-elle, qui ne rĂ©vĂšle la bontĂ© de Dieu ». Par consĂ©quent, les signes de cet amour sont partout ! Il faut juste savoir les de signe » est un signe » qui parle trĂšs fortLes Ă©vĂ©nements de la vie sont aussi signes » de la Providence divine. La philosophe Simone Weil disait que Dieu Ă©tablit avec ses amis un langage conventionnel ». Chaque Ă©vĂ©nement de la vie est un mot de ce langage. Le sens commun Ă  tous ces mots, c’est Je t’aime ». Simone Weil prend cet exemple un homme boit un verre d’eau ; l’eau est le Je t’aime » de Dieu. Il reste deux jours dans le dĂ©sert sans rien trouver Ă  boire ; le dessĂšchement de la gorge est le Je t’aime » de Dieu. Dieu n’a pas de mots pour dire Ă  sa crĂ©ature Je te hais ». Mais il est assurĂ©ment plus facile d’entendre le Je t’aime » de Dieu dans ce verre d’eau providentiel que de dĂ©chiffrer sa tendresse cachĂ©e lorsque la langue colle au palais
Il arrive parfois que dans la monotonie du quotidien, nous ressemblions Ă  un automobiliste cherchant dĂ©sespĂ©rĂ©ment une indication de sortie sur l’autoroute. J’ai ouvert la Bible et je suis tombĂ© sur cette parole » ; J’ai fait une neuvaine pour savoir ce que JĂ©sus attendait de moi et j’ai reçu tel signe. » Mais l’absence de signe » est un signe » qui parle trĂšs fort ! C’est de cette façon que Dieu nous confirme qu’il faut persĂ©vĂ©rer dans le devoir d’état et ne pas tenter de suivre des panneaux imaginaires
 En vivant le signe » du rĂ©el rĂ©pĂ©titif de la vie, nous trouverons sĂ»rement le royaume de Dieu – le Christ, avec la joie et la paix de sa prĂ©sence Rm 14, 17.Pour bien discerner le signe, il faut atteindre l’indiffĂ©rence »Notre humble vie quotidienne est jalonnĂ©e de clins d’Ɠil » de Dieu, signes » de son amour personnel, dĂ©licat et attentif Ă  notre Ă©gard. Ces signes suscitent notre action de grĂące et notre louange le sourire de l’enfant, la joie du mari ou de l’épouse, telle lecture
 Le signe » le plus Ă©clatant est celui de l’eucharistie qui communique la vie divine et contient, sous la pauvretĂ© des apparences, l’Auteur de la grĂące JĂ©sus en personne !Lire aussi La sainte indiffĂ©rence », la bonne mĂ©thode pour faire un choixIl se peut aussi que le panneau d’indication de sortie apparaisse. Ces signes ont habituellement un double aspect un appel du cƓur et une confirmation extĂ©rieure dans le rĂ©el. Pour bien discerner le signe, il est nĂ©cessaire d’atteindre ce que saint Ignace appelle l’indiffĂ©rence » une libertĂ© intĂ©rieure qui devient alors volontĂ© de servir la gloire de Dieu, Ă  sa façon et non selon mes goĂ»ts. Il est aussi judicieux de demander conseil Ă  une personne Ă©clairĂ©e. Enfin, il faut savoir, dans la priĂšre, attendre le temps de Dieu pour passer Ă  l’acte. Le Seigneur nous guide par des signes simples Ă  dĂ©chiffrer
 pour les cƓurs simples !PĂšre Nicolas ButtetLire aussi Discernement comment faire les bons choix de vie ? 13 signes d’attaques de dĂ©mons. Par Makko Musagara 13 signes d’attaques de dĂ©mons. Cher lecteur, le diable combat en ordonnant Ă  ses dĂ©mons d’attaquer les chrĂ©tiens. Malheureusement, plusieurs fois, certains chrĂ©tiens ne savent pas qu’ils subissent des attaques dĂ©moniaques. Dans cet article, je vous donne 13 signes d’attaques de dĂ©mons. Veuillez noter que tous ces incidents ne sont pas toujours dus Ă  des attaques dĂ©moniaques. Cauchemars Lorsque vous ĂȘtes victime d’attaques dĂ©moniaques, votre vie de rĂȘve va changer. Vous commencerez Ă  faire des cauchemars. Priez dĂšs que vous sortez d’un mauvais rĂȘve. Appelez notre PĂšre cĂ©leste, JĂ©sus-Christ et le Saint-Esprit pour vous aider. RĂȘver de serpents. RĂȘver d’un serpent est un indicateur majeur d’attaque par des dĂ©mons. Priez dĂšs que vous sortez d’un tel rĂȘve. RĂȘver d’une vache ou d’un taureau qui vous attaque. RĂȘver d’une vache ou d’un taureau qui vous attaque est un autre indicateur d’attaques dĂ©moniaques. Priez dĂšs que vous sortez d’un tel rĂȘve. Les accidents Un accident peut ĂȘtre un indicateur d’attaque par des dĂ©mons. Faites une contre-attaque par la priĂšre. Veuillez noter que tous les accidents ne sont pas dus Ă  des attaques dĂ©moniaques. Sentiment de puissances malĂ©fiques entrant dans votre corps. Dans de nombreux cas, un chrĂ©tien peut sentir des puissances malĂ©fiques entrer dans son corps. Priez dĂšs que vous ressentez de tels pouvoirs. Confusion. Une personne attaquĂ©e par des dĂ©mons peut devenir confuse. Si cette situation n’est pas traitĂ©e tĂŽt, cette personne peut devenir folle. Perte de sommeil la nuit. Parfois, la prĂ©sence de dĂ©mons peut vous empĂȘcher de dormir. Au lieu de rester Ă©veillĂ© dans votre lit, allez dans la priĂšre. Des pertes financiĂšres inexplicables. Les dĂ©mons peuvent causer des pertes financiĂšres inexplicables. Lorsque vous subissez de telles pertes, priez pour la restauration de Dieu . Mort inexplicable. Parfois, un dĂ©cĂšs peut ĂȘtre trĂšs difficile Ă  expliquer. Cela peut ĂȘtre dĂ» Ă  des attaques dĂ©moniaques. Priez chaque fois que vous voyez ce type de mort. Faiblesse soudaine. Parfois, les dĂ©mons attaquent en drainant toute votre Ă©nergie. Lorsque cela se produit, priez pour la puissance du Saint-Esprit. Casse d’articles mĂ©nagers. Parfois, casser des objets mĂ©nagers comme des verres et des ustensiles en cĂ©ramique peut ĂȘtre un indicateur d’attaques dĂ©moniaques. Priez dĂšs qu’un ustensile se casse. Douleur soudaine. Parfois, un chrĂ©tien peut ressentir une douleur soudaine. Priez immĂ©diatement pour chasser les dĂ©mons. Maladie inexplicable. Parfois, les mĂ©decins peuvent ne pas diagnostiquer la maladie. Une telle maladie peut ĂȘtre due Ă  des attaques dĂ©moniaques. Demandez Ă  vos partenaires de priĂšre de venir prier pour votre guĂ©rison. Bruit Ă©trange. Un bruit Ă©trange peut indiquer la prĂ©sence d’un dĂ©mon. Par exemple, vous pouvez entendre quelque chose tomber sur le toit de votre maison.

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