Vouspouvez dire : « J’en ai ras le bol de la pluie ! ». Quatrième moyen de dire que vous en avez marre, celui-là , il est assez familier. C’est « ça me saoule ». C’est la même chose que le mot « saoule ». Si vous êtes saoule, c’est que vous avez bu trop d’alcool et que vous ne voyez plus bien, vous ne savez plus bien marcher.
Bonjour je vous écris aujourd'hui car je ne peux malheureusement pas ouvrir les fichier JPG. Je ne sais pas d'où cela peut venir. J'ai remis mon ordinateur à zéro il y a deux semaines. J'avais tous bien fait mais malheureusement je viens de me rendre compte en voulant ouvrir une image que j'ai téléchargé que mon ordinateur ne voulais
Limportant, c’est de se placer sur le registre de la maladie pour inciter son conjoint à consulter un spécialiste. Il faut en parler à froid, pas au moment d’une ivresse ou d’une
Ace moment-lĂ , je n'Ă©tais pas encore avec Perrie et j'avais bu, je n'avais qu'une envie : m'amuser. Je ne savais pas encore ce qu'il m'attendait et si je pouvais retourner en arrière, je le ferais. - Mec, qu'est-ce qu'il te prend ? Liam me sortit de mes pensĂ©es, il s'assit Ă mes cĂ´tĂ©s et essuya une larme qui coulait sur ma joue. Inconsciemment, je m'Ă©tais mis Ă
Toutdans l'ordre, il aimerait bien que je sois entreprenante, je ne peux pas, je suis tétanisée, c'est pas grave, la aussi il va m'aider, mais il en a marre de faire tout le boulot, c'est pas croyable ce que je peux être empotée. C'est quand même pas compliqué, d'abord je le suce, non ! face au miroir, il veux voir, ensuite je me couche, d'abord pénétration
ikl44hM. Mar 15 Sep 2020 - 1655Cache-cache au pays de Mickey Alvario & AutumnAutumn n’en revenait pas de devoir se lever si tôt un samedi matin alors qu’elle était en congé, mais, la demoiselle n’avait pas réellement le choix. Son chef d’équipe avait organisé cette journée à Disneyland dans l’espoir de ressouder leur équipe. Car, les trois dernières semaines avaient été riches en disputes, bagarres, d'erreurs et plaintes de patients. Bien évidemment quand rien n’allait au sein d'un groupe, le travail en pâtissait. Autumn n’était pas réellement concernée car elle n’avait de problème avec aucun d’entre eux. Mais elle faisait partie du groupe, elle devait être solidaire et puis le patron pensait qu’elle pouvait être d’un réel renfort. Elle, qui, d’ordinaire avait le don d’apaiser les choses, de dire ce qui n’allait pas et même si elle le faisait s’en prendre de gants cela avait toujours marché. Car même si la vérité est difficile à entendre, elle n’en reste pas moins la vérité et l’entendre, la confronter à souvent du bon. Voilà pourquoi son réveil sonnait à 7h30 du matin. Voilà pourquoi elle se levait en rechignant. Ce matin, elle n’irait pas courir, elle se dirigeait donc naturellement dans la salle de bain où elle prit sa douche, puis, elle s’habilla, enfilant un petit ensemble culotte et soutien-gorge en soie blanche, un jean bleu délavé légèrement troué car elle détestait les jeans avec deux énormes trous aux niveaux des genoux qui donnaient l’impression de s’être pris une grosse gamelle. Ensuite elle passa un petit haut vert et blanc qui se nouait dans le cou et laissait apparaître de temps à autre son nombril. Elle choisit pour l'occasion de porter sa paire de baskets noires. Elle s’aspergea d’un peu de Lolita Lempicka, se coiffa et préféra laisser ses cheveux détachés. Ayant quelques minutes devant elle, elle bu un café et mangea une brioche mais pas le temps de finir, elle entendit klaxonner dans la rue et en vérifiant par la fenêtre elle aperçu son chef et une partie de l’équipe dans un mini-bus. Elle ouvrit la fenêtre, leur fit un signe, puis se dirigea vers la porte d’entrée. Au passage, elle attrapa un sac-à -dos et ses clés, puis elle referma la porte. Le trajet fut un peu long et surtout très calme, elle aurait bien aimé un peu de musique pour détendre l’atmosphère mais que voulez-vous. Monsieur le chef avait décidé que le silence était propice aux discussions ce qui eut pour résultat soit un silence de mort, soit un brouhaha incommensurable avec cris et disputes qui lui déclencha un mal de crâne horrible. Elle fut plus que ravi de descendre de ce véhicule. Et … de faire la queue. Génial je sens que cette journée va être MERD…veilleuse. Elle se reprit rapidement en apercevant le regard de son patron posé sur elle. Autumn lui lança un large sourire et comme une gamine elle leva les pouces. Genre Génial ! Trop cool ! C’est top, on va s’éclater. Mais son patron n’était pas dupe, il savait pertinemment ce qu’elle pensait et il la gratifia d’une légère grimace un petit sourire pincé, tout en levant les yeux au ciel. Avançant peu à peu, mais surtout lentement, très lentement, Autumn regardait autour d’elle. Quand son regard se posa sur une file, un peu plus loin, sur sa droite. Une silhouette lui semblait commune. Elle se mit sur la pointe des pieds comme pour prendre de la hauteur. Elle ne le voyait pas bien. Mais … il semblait qu’il s’agissait bien de lui. Encore ! Ce n’était pas quelqu’un qu’elle connaissait mais … au contraire … un inconnu. Un jeune homme qu’elle ne cessait de retrouver sur sa route. La première fois, elle l’avait aperçu à l’hôpital. Puis la seconde fois ce fut … Hum … à la terrasse d’un café et la troisième fois de nouveau à l’hôpital, puis une autre fois dans la rue à la sortie d’un cinéma et une autre fois dans un bar. Ils ne cessaient de se croiser, leurs regards se croisaient parfois, il est arrivé une ou de fois qu’ils se sourient où se fassent des signes mais jamais ils ne s’étaient parlé. Elle ne pouvait pas croire qu’il était là lui aussi. C’était impossible ! Sa file avança, elle en fit de même, son collègue lui posa une question, elle le regarda pour lui répondre et quand elle se tourna de nouveau. L’inconnu avait disparu. Ce devait être une erreur. Elle s’était forcément trompée. Elle soupira et secoua la tête tout en s’insultant intérieurement. *Tu es une idiote ma pauv’fille. Et une folle par dessus le marché car tu as des visions maintenant. *ENFIN … Après de longues, très longues minutes qui lui parurent interminables. Notre infirmière et son groupe de collègues finirent enfin par franchir l’entrée du parc. Leur chef, leur remettait les plans du parc, il pensait que s’était ridicule de tous rester ensemble, il proposait donc de faire trois groupes de quatre. Mais, Autumn n’écoutait rien. Que voulez-vous ?! Elle avait beau penser qu’elle était idiote et qu’elle avait rêvé elle ne pouvait s’empêcher de regarder autour d’ tu sera avec Gabi, Jac…. Autumn tu es avec nous ? AUTUMN !!!??? EUH oui ?!!! Oui présente Monsieur ! Tu t’fous de moi ? Tu es tout sauf présente … tu es carrément à mille lieux de là . Concentre-toi ma belle. Alors, premièrement, c’n’est pas un exercice d’incendie donc …. On se calme, pas besoin d’être si sérieux. Deuxièmement, on n’est plus des gosses, je pense qu’on peut se gérer. Et troisièmement, si tu m’appelles encore ma belle, il va te falloir une paire de béquille pour pouvoir marcher. Elle finit sa phrase avec un léger sourire. Autumn avait du caractère, et elle avait toujours sa façon à elle de dire les choses, toujours franchement mais assez souvent avec une dose d’humour ou de sarcasme pour que la pilule passe mieux. Allez les enfants … que ceux qui veulent faire partie de mon groupe lève la main ! Elle choisit trois personnes parmi ceux qui avait levé la main et d’un signe de l'index elle les invitait à la suivre. Allons nous amuser !!! On se retrouve pour le déjeuner. Elle fit un salut de la main autres membres. Et s’engouffra dans la foule. Elle n’avait aucune idée de par quoi commencer, elle se laissa guider par ses compagnons. Oooooh de la barbapapaaaa !!! Elle se dirigea vers le stand qui pour le moment n’avait aucun client puis elle commanda une énorme barbapapa. C’était le matin mais elle s’en fichait, elle adorait trop ça pour attendre. Elle regardait le pro faire, et en avait l’eau à la bouche. Quand …. Bordel … c’est bien lui … j’suis pas folle … hein ?!!! Le gars, il était là , au loin, droit devant, dans la foule. Elle le suivait des yeux, sans pouvoir bouger. Vite … vite …. viiiteee Elle pressait le propriétaire du stand qui ne savait pas du tout ce qui lui prenait. Il faisait de son mieux pour réussir sa barbapapa. Il la lui tendit, elle l’attrapa vivement et le paya sans attendre la monnaie. Mais de nouveau, il avait disparu. Elle tourna sur elle-même tout en se demandant si finalement son cerveau n’avait pas des bugs. " Une tumeur ? Nooon..... déconne pas ! " Et ....De toute façon si ça avait été lui. Qu'aurait-elle fait ? Lui aurait-elle sauter dessus ? Lui aurait-elle parlé ? Et de quoi ? Non, probablement pas, elle ne l'avait jamais fait jusque là . Mais elle voulait en avoir le coeur net. Ëtre certaine que ce n'était pas une vision, son esprit qui lui jouait des tours. Elle aperçu ses amis et les rejoignit, ils étaient assis en train de boire un café. Jackie qui la connaissait bien lui avait commander un café long avec un sucre et demi. Elle le remercia et prit place autour de la table, tout en mangeant de sa barbapapa. Elle se régalait, elle en proposa à ses collègues qui parurent ravis. J'adore ce truc, son odeur, son goût, ça me rappelle mon enfance. Elle en mangea mais sans faire exprès un morceau se colla sur son nez et un autre sur son menton. Ce qui ne manqua pas de faire rire ses amis. Mar 15 Sep 2020 - 1907 Cache-cache au pays de Mickey Hanwwww mais qu'est-ce que je fous là ! »La plainte qui sortait de ma bouche voulait tout dire. Depuis que nous étions arrivé, je n'arrêtais pas. Il fallait dire que ça m'agaçait, ce genre d'excurtions, même à Disney. Les files d'attentes, c'est ce que je détestais le plus. Le monde, encore, ça allait, mais attendre une heure pour deux minutes de plaisir, ça m'agaçait profondément. Pourtant, j'étais quelqu'un de patient. Surtout lorsqu'il s'agissait d'obtenir ce que je voulais. Mais là , c'était impossible. Arrête de te plaindre Alvi. C'est pas si terrible. T'es vraiment qu'un sale gamin. »Je roulais des yeux derrière mes lunettes de soleil. Pourquoi j'avais accepté de les suivre au juste ? Ah oui, parce que je n'étais encore jamais venu ici. Et je devais avouer que ça faisait partie de mes rêves de gosse, un peu. Je n'avais encore jamais eu l'occasion, même gosse, de découvrir le parc. Ce n'était certainement pas dans la tête de mes parents de dépenser du fric dans des choses aussi inutiles à leur yeux, en plus du fait qu'il aurait fallu prendre un avion pour venir jusqu'ici du Chili. Alors, oui, j'avais sauté sur l'occasion, lorsque Matt et Alex m'avaient proposé de les accompagner. Je tenais un peu la chandelle entre eux, mais ça, je m'en fichais. Ce qui comptais, c'était le parc. Je m'étais émerveillé tel un gosse dès que j'avais apperçu l'entrée du parc. Mes yeux trainaient partout. Je voulais tout voir, tout découvrir. Mais ma bonne humeur c'était vite essoufflée, lorsque nous avions déjà dû faire la file dès l'entrée. C'était ça, la réalité du parc. Beaucoup d'attente. Beaucoup trop pour il était aussi propable que mon état de nerfs était dû à mon manque, qui commençait à se faire sentir. Confortablement installé dans mon siège, à l'une des nombreuses terrasses, je poussais avec mon pied pour me mettre en équilibre et avoir une meilleure vue de ce qui se passait autour de nous. Un groupe de filles un peu plus loin attira mon attention, gloussant beaucoup trop pour que ça ne se remarque pas. Mais mon attention dévia rapidement sur une jeune femme juste derrière, assise avec ses amis. Est-ce que c'était elle ? Mon inconnue ? Mes lunettes se baissèrent sur mon nez alors que je stabilisais ma chaise avec mes pieds. Oui, c'était elle. Son visage, je l'avais assez souvent vu ses dernières semaines pour ne plus qu'il y ai de mal entendu. Je la reconnais entre mille, à présent. Elle était là , avec sa barbapapa à la main, distribuant sa part à ses amis. Mon sourire planait sur mes lippes, jusqu'à se faire plus franc lorsque le délice sucré se déposa sur son nez et son menton. C'était... Alvi ! »Je sursautais vivement, manquant de tomber de ma chaise au passage. Quoi ?! »Mes deux amis étaient debout devant moi, prêts à partir. J'avais visiblement manqué un épisode, trop occupé à mater mon inconnue de loin, visiblement. Viens, on y va. Les manèges nous attendent. » Allez-y, je vous rejoins. » Non Alvi. T'arriveras pas à nous retrouver et tu le sais. »Je roulais à nouveau des yeux en laissant ma tête choir en arrière. Je tournais la tête vers mon inconnue, qui évidemment, venait de disparaitre. Une moue frustrée apparu sur mon visage. Fuck. Encore raté. Ça va, j'arrive. »Mains dans les poches, je me relevais pour quitter ma chaise à mon tour et rejoindre mes potes, non sans lancer des regards autour de moi dans l'espoir de la revoir. Ça faisait des semaines, que nous nous croisions un peu partout à Plus ou moins depuis que j'avais emménager, en fait. A l'hôpital, à la sortie d'un bar, etc. Et jamais encore, je n'avais réussi à l'aborder, ce qui était franchement un exploit me concernant. D'habitude, je n'hésitais pas. Je fonçais sans me soucier du reste, mais avec elle, c'était... Différent. Je ne savais pas expliquer pourquoi. Elle dégageais un truc, quelque chose qui faisait que contrairement à toutes les nanas qui croisaient ma route, je n'avais pas envie de me jeter dessus. Enfin, pas comme d'habitude. Mais, après que l'on se soit croisés aussi souvent, ça commençait à me démanger furieusement. Et, elle était là . A nouveau. Je me promettais de tenter quelque chose, cette fois. D'aller lui parler, de briser la glace autrement que par un signe de tête ou un sourire au loin. Il le fallait. Maison hantée, nous voilà ! »Rien qu'à l'appellation de ce nom, je sautillais, retrouvant ma bonne humeur en glissant mes bras sur les épaules de mes potes pour les faire avancer plus vite. Un bon frisson, dans le noir complet, j'avais hâte ! c DΛNDELION Mar 15 Sep 2020 - 2004Jackie avait un sourire amusé accroché à ses lèvres, il prit une serviette en papier pour essuyer la barbapapa sur le visage de sa collègue et amie. Il aurait aimé plus mais Autumn avait été très claire avec lui elle ne voulait pas d'une relation sérieuse et surtout elle ne mélangeait pas travail et plaisir. Alors ils n'étaient que des amis ce qui ne lui suffisait pas mais il le supportait dans l'espoir qu'elle change d'avis, qu'elle finisse par craquer pour lui. Et si on dégustait nos cafés tout en faisant la queue au Big Thunder Mountain ? Hein ?! Hein !!! Charlie était surexcité, Autumn ne pu résister et explosa de rire, il avait l'air d'un enfant et elle trouvait cela si touchant. Finalement cette sortie n'était pas une si mauvaise chose. Pour le moment elle passait du bon temps. Elle attrapa son café, se leva, et se plaça à côté de Charlie. Allez !!! Allez on y va ???!!! Elle agissait comme une gamine, de bonne humeur, et comme souvent elle ne se prenait pas au sérieux, elle avait envie de s'amuser tout simplement. Les autres éclatèrent de rire et se levèrent. De toute façon ils n'avait pas trop le choix. Tous les gens autour les regardaient bizarrement. Certains cependant étaient très amusés et ne semblaient pas les ... je déteste réellement faire la queue !!! Par chance, elle n'était pas si longue que cela. Au bout de 30 minutes s'étaient enfin à leur tour de monter à bord du train fou. Autumn commençait à être excitée, elle adorait les montagnes russes. Elle aimait se faire peur, les sensations qui l'envahissaient, son coeur qui battaient la chamade, son souffle et sa respiration qui se coupaient de temps à autres. Aaaaaaah La jeune femme se mit à crier quand la peur s'enveloppa, cette sensation était magique, elle levait les bras et criait de joie plus que de peur. Quoique ... C'était si enivrant. Mais déjà l'attraction touchait à sa fin. Quel dommage. Elle descendait du côté gauche. Alors que du côté droit les suivants commençaient à monter. Elle rejoignait le groupe, sortait du jeu et repassait devant l'attraction pour aller à la suivante. Les autres se battaient pour le prochain choix quand .... soudain ... sur sa droite, elle le vit. Elle s'arrêta nette et fit deux trois pas en arrière. Se bloqua, puis pivota. Il était là . Devant elle. Finalement tu existes, tu n'es pas une création de mon esprit. Elle croisait son regard. Elle en revenait pas qu'ils soient encore au même endroit, au même moment. Et si près. Elle n'en revenait pas non plus qu'il existe réellement car à force elle avait finit par douter de son état mental. Un sourire amusé et heureux se dessina sur son visage. Attachez-vous le train fou va partir Autumn .... Autumn mais qu'est-ce que tu fais ? Allez vient !! Le train démarrait, Jackie attrapait Autumn par le bras et l'embarquait avec lui, alors qu'elle continuait à donner son numéro de téléphone. Le bruit du train était trop fort, il s'éloignait, et elle aussi mais dans la direction opposée. Pourquoi lui avoir donné son prénom, son numéro de téléphone ? Elle en avait aucune idée, s'était venu naturellement. Tu connais ce gars ?! Lui demanda surpris Jackie. Oui ... euh ... non ... seulement un inconnu. Et de nouveau un sourire naissait sur ses lèvres. Alors où va-t-on ? Autumn était toute légère, amusée, heureuse et tant d'autres choses encore. Elle ne pouvait pas expliquer ce qui lui arrivait, ce qu'elle ressentait. S'était étrange, nouveau mais agréable. ils semblaient devoir se croiser, alors elle le reverrait sûrement. Au splash mountain. Mar 15 Sep 2020 - 2122 Cache-cache au pays de MickeyLa maison hantée nous tandit les bras. A nouveau joyeux comme un gosse, je courrais même jusqu'à l'entrée, pillant juste derrière la dernière personne à faire la queue. De l'attente, encore de l'attente, toujours de l'attente. Seulement cette fois, ça ne réussi pas à faire fondre ma bonne humeur. Nous nous engouffrions dans le manège, qui nous guida à travers les pièces savamment décorées de la maison. Ça ne faisait pas vraiment peur, mais je me surpris à frissonner et sursauter une fois ou deux avant que la sortie ne se profile. Une fois dehors, attendant les garçons, je souris de toutes mes dents. C'était trop cool ! »Ils m'offrirent un regard amusé alors que je glissais une cigarette entre mes lèvres, prêt à les suivre jusqu'à la prochaine attraction. On tente le Jungle Cruise ? » T'as vu la file ? Nan, allons plutôt au Big Thunder Mountain ! » C'est parti ! »Toujours avec autant d'en train, j'ouvrais notre marche, tirant sur ma clope de temps en temps. Mes yeux regardaient partout, s'imprègnaient de toute l'ambiance semblant hors du temps propre au parc, tout en ne pouvant s'empêcher de la chercher à nouveau. Si elle était là , nous finirions bien par nous croiser, non ? L'attraction se profila devant nous. Une file d'attente de plus. Par chance, celle-ci était moins longue. Nous y étions déjà ! Le train remplit se présenta à nous. Les portes s'ouvrirent pour nous laisser prendre place à notre tour. J'étais tout excité, souriant à n'en plus finir en riant à gorge déployée avec mes amis lorsque soudain, on attira mon attention. C'était elle. Je me levais du siège sans pouvoir m'en extirper complètement alors qu'elle s'approchait jusqu'à ma hauteur. Putain, pourquoi maintenant ? Ici ? Je captais à moitié les mots qui sortaient de sa bouche à cause du brouaha ambiant, me contentant d'un grand sourire alors qu'elle semblait réaliser que non, je n'étais pas une illusion sortie de son imagination. Incroyable n'est-ce pas ? »Sans me départir de mon sourire, j'appris enfin son nom. Autumn, qu'elle cria à travers l'annonce du départ du train. Alvario ! » criais-je pour me faire dicta son numéro, mais un gars sorti de nulle part vint la tirer brusquement par le bras. Monsieur asseyez-vous ! »On me tira à mon tour, m'obligeant à m'asseoir alors que j'essayais d'entendre la suite de son numéro de téléphone. C'était peine perdue. C'était quoi ce bordel Alvi ? »Je me tournais vers mes amis, qui me dévisageait tous deux d'un drôle d'air alors que je haussais les épaules. C'était... Une inconnue. »Le regard qu'ils me lançèrent à cet instant me prouva que je n'étais pas crédible. Pourtant, il n'y avait rien de plus vrai. Je leur offris un sourire innocent avant que l'attraction ne démarre pour de bon. Autumn. J'avais au moins son attraction ci était bien différente, à m'en soulever le coeur et provoquer mon euphorie alors que je criais à plein poumons. C'était bien trop court à mon goût, mais le visage d'Autumn me revint vite en mémoire, m'arrachant à ma frustration. J'essayais tant bien que mal de me souvenir les chiffres qu'elle m'avait dictée, mais c'était impossible. Comment la retrouver ? Eh, ça va Alvi ? » Ça va ouais... » C'est la meuf de tout à l'heure qui te met dans cet état ? »Je relevais les yeux vers Matt, qui m'offrait un large sourire, fier de lui. Ouais. Ça fait des semaines qu'on se croisent comme ça. C'est la première fois qu'on arrive à se parler. J'ai que son prénom, ça me frustre vous avez pas idée ! »La main d'Alex atterit dans mon dos dans un soutien amicale. Quoi, toi, tu lui as pas encore sauter dessus ? Je suis impressionné ! »Je le gratifiais d'une grimace en lui lançant un coup de coude dans les côtes alors que nous reprenions notre marche à travers le parc. Ah ah, très drôle ! » Allez ça va, on va la retrouver, ton inconnue » »Je relevais la tête. Il avait raison, bien sûr que j'allais la retrouver, restait simplement à savoir quand. Et je fus déçu, après avoir enchainé les attractions pendant plus de deux heures, de ne pas retrouver sa trace. Peut-être qu'elle était déjà repartie ? La déception avait presque remplacer la frustration qui s'agitait dans mon ventre depuis que j'avais appris son nom. Je me rappelais les traits de son visage, si proche du mien alors que je faisais une pause dans les toilettes pour faire taire mon manque qui commençait à me rendre pale et nerveux. La poudre dans le nez, le sourire ravageur, je resortais pour retrouver mes amis une fois de plus. Et maintenant ? » Y'a un spectacle dans 10 min. » Super ! Faisons ça alors ! »Je leur emboîtais le pas. Au fil des heures, j'avais perdu le réflexe de la chercher à travers la foule. Je voulais arrêter de me prendre la tête avec ça et profiter du reste de la journée comme il se devait. Si nous nous recroisions, tant mieux, sinon, tant baskets tracèrent mon chemin à travers le public qui venait regarder le spectacle, tout comme nous. Nous nous enfoncions à travers la foule pour avoir une bonne place. Pas trop près, mais pas trop loin non plus. Rendu plus guilleret par la poudre, j'avançais, à nouveau tout excité, sautillant d'une jambe à l'autre en attendant que cela commence. Je me tournais vers mes amis, une question primordiale brûlant mes lèvres. Au fait... »Ma phrase n'eu jamais de fin, perdue dans le vent face au baiser qu'il s'échangeait devant mes yeux. Ouep. Ma bouche se referma avant que je ne pince mes lèvres, me détournant aussitôt de la scène qu'ils m'offraient pour plonger dans mon verre de bière. Et puis, je la vis. Je relevais la tête de ma boisson, la dévisageant de loin pour être sûr de mon coup. Les cheveux longs châtains, le visage angulaire, le sourire craquant. Pas d'erreur, c'était bien ne pris même pas le temps de prévenir mes amis. Mes pas me guidèrent jusqu'à elle à travers la foule. Je poussais et m'excusais auprès de ceux que je dérangeais, jusqu'à ce qu'elle soit à portée de main. Le spectacle commença à cet instant précis. Discrètement, je m'arrêtais juste à côté d'elle, l'air de rien, le sourire aux lèvres, les yeux rivés vers la scène extérieure qui nous offrait sons et lumières. Tu n'es pas facile à trouver, tu le sais ? »Je détournais le regard des danseurs qui venaient d'apparaitre sur scène pour la regarder, elle. C'était bien elle. Autumn. c DΛNDELION Mer 16 Sep 2020 - 1213Autumn et Jackie avaient rejoint le reste du groupe, ils se dirigeaient ensemble vers le Splash Mountain et Jackie ne pouvait quitter la jeune femme du regard. Le sourire léger qu'elle affichait le rendait dingue. Pourquoi semblait-elle si légère et heureuse ? Pourquoi ne voulait-elle pas lui dire qui était ce gars et d'où elle le connaissait ? *Un inconnu ? tu parles !!* se disait-il. Et une fois arrivée à l'attraction, bien entendu, ils durent faire la queue. Mais pour une fois, Autumn ne se plaignait pas. Elle repensait au jeune homme, il n'était plus réellement un inconnu car à présent elle connaissait son prénom Alvario. Mais surtout il était bien réel. En même temps, malgré les doutes qui l'avaient envahi ces dernières semaines, au fond elle, ancré en elle, elle savait qu'il existait pour de vrai, qu'il n'était pas une création de son esprit. Soudain, elle laissa échapper un petit rire, se remémorant son attitude, comment avait-elle pu ? Pensait-elle intérieurement. Quand ...Comment tu as pu ? Pourquoi tu as donné ton numéro à un parfait inconnu. Ses pensées faisaient échos. Jackie se manifestait enfin. Cela faisait un moment qu'elle sentait son regard posé sur elle, et sa frustration, sa jalousie même sortait de tous les pores de sa peau. Que pouvait-elle lui répondre ? Non, elle ne connaissait pas cet homme. Et non ce n'était pas son genre de filer son numéro à n'importe qui. Elle ne savait que lui rétorquer car elle-même ne comprenait pas son propre sais pas .... C'est arrivé comme ça ! L'instinct !Elle ne pouvait pas dire à Jackie qu'elle croisait cet homme depuis des semaines. Qu'il était partout où elle allait et qu'à force son visage était incrusté dans son esprit. Et que très souvent il lui revenait en mémoire et qu'elle le cherchait parfois. Jackie ne pouvait comprendre cela, il paniquerait tout de suite. Il penserait que cet homme était surement dangereux, qu'il devait la suivre, peut-être était-il un harceleur. Autumn, ne pouvait l'expliquer mais tout au fond elle, elle savait que rien de tout cela était possible. Le splash mountain était une chouette attraction, très rafraîchissante, ce qu'elle su apprécier avec la chaleur qu'il faisait. Il était bientôt midi quand ils descendirent de l'attraction. Le téléphone d'Autumn se mit à sonner. *C'est pas possible!!!* Pensa-t-elle en se dépêchant d'attraper son ?! et non ce n'était pas lui, ce n'était que James, son chef. C'est James, Où vous êtes ?En même temps, elle doutait bien qu'Alvario n'ait pas eut la possibilité de noter son numéro voire même de pouvoir l'entendre entièrement. James la contactait pour les informer qu'il avait retrouvé presque tout le monde et qu'ils les attendaient pour ... je transmets aux autres. On se retrouvent là -bas. Autumn raccrocha, on pouvait lire la déception sur son visage mais seul Jackie semblait comprendre pourquoi. Ce qui l'agaça un peu plus. Elle expliqua à la bande que James et les autres les attendaient dans un des restaurant du parc. Et tous les quatre prirent le chemin qui les mènerait au fameux restaurant. Ils savourèrent un bon repas. Puis James décida de changer les groupes. Idée que Jackie n'apprécia guère car il souhaitait rester avec Autumn. Il espérait ainsi la tenir à l'oeil et éviter tout nouvel incident. Mais qu'il se rassure, le reste de la journée se passa normalement. Ce fut une suite de longues heures d'attentes pour seulement quelques minutes de joie, de rire ou de cris. Mais rien de plus. Elle ne le croisa plus une seule fois et commença à penser qu'il était rentrer chez lui. Mais elle ne désespérait pas pour autant car ce n'était pas son genre et aussi et surtout parce qu'elle était bien décidée à s'amuser avec ses collègues. De nouveau son téléphone sonna, c'était à nouveau James. Comme il était déjà tard et qu'ils n'allaient pas tarder à rentrer, il avait décidé que tout le monde se retrouve au spectacle. Autumn et son groupe trouvèrent que c'était une excellente idée. Sur place, il s'agissait de nouveau de faire la queue, de piétiner, de se frayer un chemin parmi la foule. Mais en plus il fallait retrouver le reste de l'équipe. Rien n'était plus compliqué que cela. Il y avait tellement de monde mais ... d'un coup. AUTUMN !!!Elle entendit crier son prénom, suivit d'un sifflement, elle fut surprise, elle chercha dans toutes les directions. Et... aperçu Jackie qui surpassait les spectateurs. Il agitait le bras dans tous les sens. L'espace d'une seconde elle pensa que peut-être ... mais non ... elle répondit à son collègue d'un signe de la main droite et difficilement elle le rejoignit, ainsi que les autres. Une musique magnifique et entraînante s'élevait, emportant totalement l'infirmière qui sentit son coeur battre un peu plus fort et tout son corps étaient soudain envahit de frissons, qui ... ne firent qu'augmenter quand .... Tu n'es pas facile à trouver, tu le sais ? »Cette voix, cette phrase ... son coeur fit un bond dans sa poitrine. Elle était envahit par tout un tas de sensations à commencer par la surprise, la joie mais aussi l'amusement. Un sourire lumineux éclaira soudain son visage alors qu'elle tournait la tête en direction de cette voix qu'elle avait entendu un peu plus tôt dans la matinée. Son sourire se fit encore plus large et amusée. Elle se mordit la lèvre inférieure avant de lui répondre. C'est parce qu'il ne faut pas me chercher. C'est ainsi que ça marche entre nous. depuis le premier jour. C'est le destin qui nous met sur la route de l' plongeait son regard dans le sien. Il était si proche pour une fois qu'elle pouvait le toucher si elle le souhaitait. Mais sincèrement elle ne savait que faire. Il est vrai qu'elle aussi l'avait cherché du regard un bon moment et depuis si longtemps qu'elle avait fini par abandonner de nombreuses fois. Et à chaque fois qu'elle laissait tomber, il réapparaissait, comme pour jouer, la tenter. Mais désormais, il était là , face à elle. Elle le regardait attentivement, ses cheveux étaient légèrement longs bruns et bouclés. Ses yeux étaient très brillants, il émanait d'eux une lueur à la fois sexy et espiègle. D'ailleurs, elle ne pouvait l'expliquer mais il émanait de lui quelque chose d'étrange ou plutôt de particulier. Quelque chose qu'elle ne parvenait pas à déterminer mais qui faisait de lui quelqu'un de différent, différent de tous les hommes qu'elle avait fréquenté. Peut-être était-ce le jeu de cache-cache qu'il y avait entre eux et qui les liait d'une façon particulière. Ou peut-être était-ce simplement qu'il était un illustre inconnu, qu'elle semblait d'une certaine manière connaître, sans, en réalité ne rien savoir de lui. Je crois que c'est toi qui a gagné ! Tu vas devoir choisir ton prix. Elle était toujours dans l'amusement. Elle ne savait absolument pas de quoi elle parlait ou ce qu'elle semblait lui proposer. Mais ça lui était venu comme ça. Comme quand elle lui avait filer son numéro de téléphone. De toute façon avec lui, rien n'était normal, rien n'était contrôlé, calculé, voulut. Tout venait comme ça. Mer 16 Sep 2020 - 1302 Cache-cache au pays de MickeyElle était là , finalement. Son visage se tourna vers moi alors que je portais un petit sourire mutin sur mes lippes. Enfin. Depuis combien de temps est-ce que nous nous cherchions au juste ? Trop longtemps, si l'on écoutait les battements de mon coeur qui semblait à présent s'apaiser, maintenant que je l'avais retrouvée. A présent, j'avais le loisir de la détailler comme je le voulais. Elle était réellement ravissante, Autumn. Avec ses fines lèvres et son regard presque noir. Loin des standards, loin des midinettes qui croisaient habituellement ma route et finissaient dans mon lit avant d'avoir su dire ouf. C'était différent. Elle était différente. J'accrochais son sourire qui se fit plus franc, ces dents qui s'imprimèrent sur sa lèvre juste avant qu'elle ne me réponde, que je retrouve enfin sa sourire s'illumina, amusé par sa répartie. Je quittais brièvement son visage pour admirer le spectacle qui prenait de l'ampleur devant nous. Elle avait raison, finalement. C'est lorsque j'avais arrêté de la chercher qu'elle m'était apparue, comme à chaque fois que nous nous croisions. C'est ainsi que ça marche entre nous. Elle résumait très bien la situation. Même si je ne croyais pas au destin. A nouveau, je l'admirais, alors qu'elle me détaillait sans gène, appréciant visiblement ce qu'elle avait sous les yeux. Je me retins franchement de taper la pose pour ses beaux yeux. Autumn ne paraissait pas le genre de nana à être facilement impressionnable par ce genre de choses. Au pire, cela pouvait la faire rire, mais j'avais beaucoup trop peur de la faire fuir, maintenant que j'avais réussi à la retrouver, pour de bon cette nouveau, sa voix se fit entendre à travers la musique du spectacle qui nous était offert. Une proposition. Une centaine d'idées perverses me traversèrent la tête, que je repoussais aussitôt. Pas de ça avec elle, non. Je ne savais pas me l'expliquer, mais ce n'était pas ce que je voulais. Je ne voulais pas gâcher ce lien étrange que nous avions créer entre nous pour une partie de jambes en l'air dans un coin, pour ne plus jamais la croiser après. Ce qui était très étrange, me connaissant. Je pris le temps de la réflexion, les yeux vissés sur les danseurs qui faisaient leur show devant nos yeux, oubliant même à quel point j'avais envie de monter sur scène moi aussi. Je mordillais ma lèvre, incertain, avant d'à nouveau me tourner vers elle. Viens. »J'attrapais sa main pour la tirer à ma suite, guidé par mon instinct sans me poser de questions. Ma bière se fracassa au sol sans que j'y fasse attention alors que je l'embarquais dans une course folle à travers la foule. Tant pis pour le spectacle. Tant pis pour le reste du monde. Mes jambes s'emballaient à travers le parc sous mon rire espiègle, jusqu'à s'arrêter devant une attraction particulière. Impossible de me rappeler de son nom. C'était un labyrinthe de miroirs. Une façon de continuer notre jeu de cache-cache à notre manière. La tête levée sur la décoration de l'entrée, je me tournais vers elle pour lui offrir un sourire étincellant, puis l'entrainait à l'intérieur. c DΛNDELION Jeu 17 Sep 2020 - 1728Pourquoi n'arrivait-elle pas à décoller son regard de lui. Lui qui parvenait à profiter du spectacle. Rhaaa c'était pas son genre. Mais ... tout venait de lui ! Elle n'avait jamais été ainsi avant. Mais depuis son apparition dans sa vie elle avait l'impression de se conduire comme une adolescente. Bon d'accord, parfois, il lui arrivait d'être immature mais là ... ça frôlait la gaminerie.*Arrête enfin ... tu m'fais honte ... qu'est-ce qui te prends ?*Peut-être parce qu'elle voulait graver son visage dans son esprit. Ou peut-être avait-elle peut qu'il ne disparaisse encore, tout d'un coup, alors elle en profitait. Ou peut-être ni croyait elle pas encore. Peut-être était-il un rêve qu'elle faisait éveillé pour pallier à son ennui et sa vie si triste. Elle déposa alors sa main sur son bras, il était réel. Il était vraiment là . La regard du jeune homme se posa à nouveau sur elle. Et elle ne pu que lui sourire. Et admettre ... qu'il avait gagné la partie. Comme si tout depuis le début n'était qu'une partie de cache-cache comme aurait pu y jouer deux gamins. Car finalement, lui aussi, avait admis l'avoir cherchée de son côté. Elle n'était donc pas seule dans ce délire. Seule à vouloir le voir, le retrouver, le connaître. Etaient-ils deux fous ? C'était tout à fait possible, mais elle s'en fichait pas mal et au moins pour une fois elle n'était pas seule dans son délire. Viens. »Quoiiiii ?!! Mais déjà , il avait attrapé sa main et l'entraînait avec lui. Ensemble ils prenaient la fuite. Encore une fois elle ne savait ce qu'elle faisait, elle ne savait pourquoi ils fuyaient mais elle adorait cela. Elle se sentait si légère, si heureuse. Jackie criait son prénom. Et elle s'en fichait. Elle profitait de l'instant présent avec ce total inconnu. Et ... s'était si bon. Elle qui avait une vie parfois si posée et ennuyeuse et à l'opposé parfois si difficile, cruelle. Depuis qu'il était apparu comme un hologramme qui va et vient, elle se sentait comme ... libre. Comme si elle était dans un rêve et que rien n'était vrai et donc que rien n'avait d'importance. Ils couraient la main dans la main sans savoir où. Enfin, elle l'ignorait mais Alvario semblait connaître leur fou !!! On est cinglés ... Je sais même pas qui tu es et ... j'M'EN FOU !!!!!Autumn éclata de rire. Et enfin leur course folle s'arrêta, ils étaient arrivé à destination. Il s'agissait de l'attraction avec les labyrinthe en miroirs. Notre infirmière se mordilla la lèvre inférieure, se mit à sourire et le regarda dans les yeux. Cette attraction avait un sens pour elle. Enfin, seulement avec lui, car sinon ce ne serait qu'un jeu. Mais, ici, à cet instant, avec lui. Ce jeu était leur histoire. Attrapes-moi si tu peux !! Elle déposa un baiser rapide sur sa bouche et puis elle lâcha sa main pour s'engouffrer dans l'attraction. ils n'avaient même pas payé, n'avaient donc pas de tickets mais elle s'en fichait, elle courait dans le jeu. Et elle tentait d'avancer le plus vite possible, sans trop se blesser, car souvent elle tapait dans un miroir. Elle ne pouvait s'empêcher de rire et de regarder derrière elle. Elle se sentait enivrée quand elle l'apercevait non loin. Ven 18 Sep 2020 - 305 Cache-cache au pays de MickeyElle rit, Autumn, elle crie à travers la foule à quel point nous sommes fous alors que je l'entraine dans ma course folle à travers le parc. L'adrénaline de ma folie échauffe mes jambes qui avalent la route alors qu'elle me suit. Son rire éclate à travers le vent. Il chante à mes oreilles. Elle s'en fou, de qui je suis. On s'en fou, de qui nous sommes, ça n'a aucune importance. Pas la moindre. Ce qui en a, ce sont les idées folles que notre rencontre si attendue éveille en nous. L'extravagance de mon geste imprévisible, sa main dans la mienne et mon coeur qui s'envole. L'art de tout oublier de nos vies, de nos amis, de tout ce qui nous entoure, le temps d'un pas s'arrêtent devant le manège. Mon regard espiègle tombe sur elle, qui se mord la lèvre avant de sourire, entrainant le mien qui s'étire encore et encore, semblant ne plus vouloir se faner. Ses prunelles me trouvent, une fraction de seconde avant que sa voix me lance un défi qui fait pétiller mon âme. Elle m'embrasse, Autumn, elle goûte mes lèvres pour la première fois dans un baiser volé. Trop chaste, trop frustrant, trop surprenant. Horriblement exaltant. La surprise me cloue sur place. Sa main me relâche. Je la suis du regard alors qu'elle s'enfonce dans l'attraction. Mes pieds agissent à ma place pour s'élancer à sa poursuite. J'entends son rire à travers le labyrinthe. Mes yeux attrapent son reflet, qui se répète tout autour de moi jusqu'à m'en rendre dingue. J'avance, cours après la jeune femme en mêlant mon rire au sien. Plus d'une fois, je vais trop vite. Plus d'une fois, je me fracasse presque contre les miroirs qui crissent sur mon passage. Plus d'une fois, je pense la surprendre alors que son reflet m'éclate de rire au nez, avant de disparaitre aussitôt. Je croise son regard muni de la même frénésie, lui qui me défie de la rattraper plus vite, pour en avoir encore. Pour ne plus la laisser s'échapper. Plus s'arrête. Je la fixe alors qu'elle me fait face. Le coeur battant, sourire aux lèvres, j'approche alors qu'elle recule. Et puis, elle disparait à nouveau, s'évade avant même que j'ai pu croire que c'était elle et pas une de ses copies. Elle va me rendre fou, à jouer ainsi avec mes nerfs et ma frustration. J'y suis presque. Mes doigts la frôlent mais manque leur cible à chaque fois. Elle est vive, elle s'envole et s'échappe de ma prise tel le vent. Insaisissable. Enfin, le labyrinthe se referme sur nous. Un cul de sac. Elle est piégée, entourée par ses copies parfaites, éclairées par les spots qui veillent sur nous. La course folle de mon coeur bat contre mes oreilles. Je reprends mon souffle alors qu'elle se retourne pour me faire face. Elle n'a plus d'échappatoire. Il n'y a plus que moi, qui m'avance lentement vers elle. Je suis incapable de la lâcher des yeux. Rien qu'un instant, alors que j'approche à pas de loup. Mon corps se fond presque contre le sien. Il entretien la tension. Mes prunelles brillent d'excitation, elles brûlent de la retrouver à nouveau. Sans un mot, je récupère sa bouche, réduit à néant la distance qui nous sépare encore. Mes doigts glissent à sa rencontre. Ils la découvrent sous les frissons qui m'assaillent. Ma langue ne tarde pas à la chercher, pour approfondir notre baiser encore trop chaste. C'est de la folie. Ça pétille dans chaque fibre de mon être à m'en faire perdre la tête. Il n'y a plus rien. Plus rien d'autre qu'elle à cet instant. c DΛNDELION Ven 18 Sep 2020 - 1330Autumn est une femme libre et libérée qui tente par tous les moyens de vivre sa vie comme elle l’entend. Elle est positive, pleine de vie et profite au maximum. Mais malgré son état d’esprit, la vie, son métier et parfois les autres la ramènent souvent à une réalité moins légère mais plus difficile, plus sombre. Cependant, depuis l’apparition de ce bel inconnu dans sa vie. Tout est soudain devenu différent. Il était comme un être magique, un fantôme qui venait mettre du piquant à sa vie. Qui lui donnait envie de se lever le matin dans l’espoir de peut-être le croiser. Car le désir de le croiser à nouveau, de le connaître, d’attraper ce rêve volatile et éphémère donnait du peps à sa vie de plus en plus monotone. Alors quand il prit sa main, elle n’a absolument pas voulu résister, au contraire, elle était envahie par le désir de fuir avec lui. Car à cet instant précis son cœur se mettait à battre la chamade et ça faisait si longtemps qu’il ne s’était pas exprimé de cette manière. Elle ne savait pas qui il était, d’où il venait, mais elle n’avait pas peur de lui. Il réveillait en elle l’adolescente qu’elle avait été. Il lui faisait vivre à nouveau l’insouciance, le plaisir, le désir, le jeu. Elle se laissait porter par les sentiments et les désirs qu’il faisait naître en elle. Et quand elle vit l’endroit où il la menait, quand elle croisa son regard, aperçut son sourire. Elle se laissa aller. Elle s’approcha de lui, pour lui voler un baiser … fugace. Puis elle lâcha sa main et s’échappa, lui lançant un défi au passage. Celui de l’attraper. Et s’il le relevait ce défi ? Et s’il y parvenait que se passerait-il ? Sincèrement, elle en avait aucune idée car elle ne pensait pas autant, elle ne pensait pas si loin, elle se laissait guider par son corps et son cœur et non sa tête. Rien n’était réfléchit, calculé, tout était improvisé, sur l’instant. Elle était aussi ainsi Autumn. Et Alvario, aussi, sûrement. Car il la suivait, il courait après elle. Semblant faire son maximum pour la rattraper. Il y allait tellement pour de vrai, qu’il se cognait parfois. Et elle s’arrêtait, croisait son regard, son reflet. Elle était soudain comme une tentation de plus. Puis elle filait, s’échappait à nouveau. Parfois, elle se stoppait seulement pour le regarder pour être certaine de ne pas le perdre de nouveau. Et quand il la regardait, elle se sentait bien, puis soudain son regard se changeait, une lueur de provocation apparaissait, son sourire se faisait joueur, elle riait à en faire vibrer les miroirs. Il n’était plus très loin. Mais elle était persuadée de pouvoir gagner, de pouvoir sortir avant qu’il ne la rattrape. Quand … soudain … elle tâtait les parois de verre. Aucune sortie, elle était dans un cul de sac. Elle se tourna pour sortir mais il était là . Planté devant elle. Bloquant la seule sortie. Il venait de la prendre au piège. A nouveau elle se mit à rire. Je crois que j’ai encore regard plongeait dans le sien, alors qu’il s’approchait doucement d’elle. La distance entre eux n’était pas si grande et pourtant son avancée lui semblait interminable, comme au ralenti. Des papillons naissaient dans son corps. Et durant tout ce temps son regard l’hypnotise. Et, soudain, ces frissons qui envahissent son corps quand, enfin, il la frôle, la touche, se colle tout contre elle. La chaleur qui se propage en elle, alors que ses lèvres prennent possession des siennes. Leurs langues s’unissant pour une danse endiablée. Leurs corps bougent, elle se retrouve plaquée contre une des parois. Mais soudain, la fin. Le choc total. Jackie vient de pousser violemment Alvario pour les faire se détacher. JACKIE ! Qu'est-ce qui te prends ? Bon sang !Non mais ça va pas vous deux ? Tu es qui toi ? C’est pas un truc à faire dans un jeu pour les gosses . Dégages !!Il attrape le bras d'Autumn qui se débat physiquement et verbalement mais il n’écoute rien. Il est plut fort et tout se déroule très vite. Il l’entraîne à l’extérieur. Où se trouve le reste du groupe, qui les regardent médusés, sans rien comprendre à la situation. Mais Autumn ne veut pas suivre et Jackie qui s’énerve un peu plus, la jalousie bouillonnant dans ses veines. Il se baisse, la place sur son épaule, la soulève et l’embarque comme si elle n'était qu'une enfant prise sur le fait par son agis comme une idiote. Tu ne le connais même pas. C'pas toi ça ... puis il est tard, on t'a cherché partout. ON RENTRE !!! Ven 18 Sep 2020 - 1419 Cache-cache au pays de MickeyNos bouches se répondent, elles s'éveillent, s'allument et s'usent l'une contre l'autre. Le manque de souffle de nous effleurent même pas. L'excitation gonfle entre nous alors que mon corps la plaque contre le miroir derrière elle. La chaleur se diffuse dans mon ventre, le long de mon être qui la réclame déjà . C'est de la passion brute, atone, qui dépasse la logique. Ça me transperce de toute part, comme un rêve devenant ma réalité. C'est ça s'arrête. En un coup. On me tire en arrière, on m'arrache à elle sans que je m'y attende. Mon dos atterri avec fracas contre un miroir, faisant claquer mes dents sur ma langue. Mes yeux se ferment brièvement pour accuser le choc, puis se rouvre sur la sale gueule du mec qui vient de me faire voler. Tout va trop vite. Il est déjà sur elle alors qu'elle se débat. Il l'emmène loin de moi, la tire à sa suite alors qu'elle proteste. Mon corps se décolle à peine du reflet pour tenter de l'attraper au vol, mais mes doigts glissent sur son haut. Elle s'envole en un souffle. J'hésite. Trop longtemps. Mes pieds restent figés sur place. Mon regard se heurte sur ce gars qui la porte comme si elle n'était qu'une poupée de chiffon. Je boue de l'intérieur. J'ai envie de courir, de la rattraper, de provoquer ce gars qui m'a arraché mon rêve, mais c'est trop tard. Ils ont déjà disparu. Je n'ai même pas pu croiser son regard une dernière dos retrouve la surface dure. Mon corps se font contre elle, complètement sonné. Une main glisse dans mes cheveux pour tenter de me remettre les idées en place. Tout est allé si vite. Trop vite. Je frôle mes lèvres du bout de mes doigts. Je porte encore le goût de sa langue sur mon palet. Je mordille ma lèvre en relevant les yeux vers l'endroit où elle a disparu. Je la retrouverais. Nos chemins se re-croiseront. Il ne peut pas en être autrement. Ça ne peut pas se finir comme ça. Ce n'est que le c DΛNDELION Cache-Cache au pays de Mickey - AlvarioPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
2 Hanh mais c'est trop ce dont j'aurais eu besoin au Cambodge ou dans toutes mes randonnées. Je pars au Pérou dans quelques mois, je sens que je vais investir. Oui, je suis une flippée de me faire mordre/piquer le derrière par une bestiole inconnue. A la limite montrer mes fesses je m'en fiche. D'ailleurs, je recommande la lecture de ce livre sur un sujet qui met hommes et femmes sur le même plan ou dans la même position plutôt 3 Je sais pas si j'arriverais à me détendre suffisamment pour vraiment l'utiliser, si vous voyez ce que je veux dire... Rien à voir, mais je déconseille fortement le site du vieux campeur, j'ai voulu commander une fois, le site a annulé ma commande, mais j'ai quand même été prélevée. Il a fallu que je me batte pendant 3 semaines avec un service client plus que mou et désagréable pour enfin être remboursée 4 genevieve-dieudonne;3869404 a dit "ou celles qui y voient réellement une amélioration pour l’égalité des sexes." Je n'ai pas bien compris cette phrase... En quoi le fait de faire pipi debout contribue à l'égalité des sexes ? Ou alors, c'est de l'humour et je ne l'ai pas saisi ? Je vois très bien l'utilité de l'objet, mais je ne vois pas pourquoi il faut ramener son utilisation à une histoire d'égalité des sexes. Je suis pas l'auteure de l'article donc je ne veux pas m'avancer, mais je vois en quoi ça peut être une avancée au quotidien... Parce que dans des cadres un peu "à l'arrache", c'est vrai qu'un mec peut pisser dans un coin en trois minutes alors que les filles font la queue aux toilettes faute d'engin externe , ce qui fait perdre du temps ; pareil en voiture, un homme peut s'arrêter vite fait sur le bord de la route alors qu'une fille devra s'éloigner, trouver un buisson, etc. même s'il y a des filles pas pudiques bien sûr. En fait je vois ça un peu comme le pantalon VS la jupe ce n'est pas que la jupe aliène les femmes, c'est qu'un pantalon permet une plus grande liberté de mouvement, et que c'est bien d'avoir le choix ! clairedavy;3869399 a dit Rien à voir, mais je déconseille fortement le site du vieux campeur, j'ai voulu commander une fois, le site a annulé ma commande, mais j'ai quand même été prélevée. Il a fallu que je me batte pendant 3 semaines avec un service client plus que mou et désagréable pour enfin être remboursée J'ai simplement mis le site du Vieux Campeur pour avoir une idée de prix 5 Je comprends pas non plus l'idée d'égalité des sexes. Dans le genre "les garçons peuvent pisser debout et pas non, c'est dégueulasse !" ?! Enfin je sais pas c'est comme si on donnait aux hommes un appareil pour allaiter, ça serait ridicule et pas du tout évolutif à mon sens, en tous cas pas en termes d'égalité des sexes mais ça pourrait être bien pour les mamans qui travaillent, qui ne veulent pas allaiter, pour les papas au foyer.... Pour moi ça fait partie de la nature. Les femmes ne sont pas pourvues pour faire pipi debout, faut pas y voir de la discrimination de mère nature. J'avoue que ces débats d'égalité des sexes commencent à me rendre malade. Autant y a des choses très pertinentes qui en ressortent, autant y a plein de trucs stupides aussi... 6 Sinon il y a ça aussi , c'est un peu plus cher et jetable, ça m'a bien servi en festival ou en cas de toilettes d'autoroute crados 7 J'adore ces systèmes pour faire pipi debout ! Il faut dire que les toilettes traditionnels ne sont pas supers hygiéniques pour ces dames et c'est vrai que la visite des toilettes en plein festival tourne souvent à l'exercice acrobatique ! Moi j'utilise Urinelle depuis des années mais je suis ravie de découvrir un système réutilisable Et je pense que cela participe à l'égalité des sexes parce que cela nous donne plus de liberté et on est pas obligée de s'accroupir, de se salir les mains ou de fair du surf de cuvette 8 J'ai déjà vu entendu parler de ce genre de système mais n'ai jamais testé. Je me dis que même dans les toilettes publiques ça doit etre sympa ca éviterait de devoir se tenir en équilibre sans toucher la planche ou de gaspiller du papier pour le mettre sur la fameuse planche. 9 "Pour moi, l’occasion était toute choisie le Hellfest" aha j'ai direct pensé au Hellfest quand j'ai commencé à lire l'article je trouve ça hyper pratique, j'en ai vraiment marre de courir après les toilettes publiques dégueux quand je sors et que j'ai bu trop de bières. Et puis je m'imagine bien me caler à côté d'un mec en train de faire sa petite affaire dans contre un buisson en festoche et le sortir l'air de rien 10 En plus moi je vise très mal, quand je suis dans des chiottes publiques et que je ne peux pas m'assoir y'a toujours un peu de pipi qui dévie de sa route initiale oui ça coule sur ma jambes donc je trouve que c'est une magnifique idée! . . J'adore dans l'image "pour les femmes" vu l'image et le texte ... et juste le produit c'est un peu logique non! 11 malibu_stacy;3869497 a dit Je comprends pas non plus l'idée d'égalité des sexes. Dans le genre "les garçons peuvent pisser debout et pas non, c'est dégueulasse !" ?! Enfin je sais pas c'est comme si on donnait aux hommes un appareil pour allaiter, ça serait ridicule et pas du tout évolutif à mon sens, en tous cas pas en termes d'égalité des sexes mais ça pourrait être bien pour les mamans qui travaillent, qui ne veulent pas allaiter, pour les papas au foyer.... Pour moi ça fait partie de la nature. Les femmes ne sont pas pourvues pour faire pipi debout, faut pas y voir de la discrimination de mère nature. J'avoue que ces débats d'égalité des sexes commencent à me rendre malade. Autant y a des choses très pertinentes qui en ressortent, autant y a plein de trucs stupides aussi... Je pense que ce n'était pas très sérieux, la phrase " je le conseillerais aux filles pas trop timides, ou celles qui y voient réellement une amélioration pour l’égalité des sexes" c'est une blague, il ne faut la prendre au 1er degré. 12 Perso je suis pas convaincue par le côté pratique du truc... En fait, si je reprends les contextes dans lesquels ça peut être utile festival, soirée dehors, dans un champs etc... Une fois qu'on a fait son pipi debout, le truc on le remet dans son sac? Parce que bon j'ai pas très envie de ranger un truc plein de pipi dans mon sac! Et puis avouons le côté fun de partir en expédition à 3 ou 4 pour trouver LA ruelle déserte ou le buisson pour finir par sortir de grandes phrases mythique telles que "putain j'en ai mis plein ma chaussure" "haha je vois tes fesses" "putain regarde ton pipi il va vachement loin"
bon suite tjrs dans le pétrin, ça ne va tjrs pas je lis des tonnes d'articles notemment dans notre magazine fétiche psychologie sur les couples, comment ils font pour durer, comment aimer librement, la pérennité, l'acceptation de l'autre, moi dans le couple enfin bref des tonnes d'articles qui me reboostent et me donne envie de faire le max pur maintenir un cap que je pourrais qualifier d'optimiste mais en ce moment cette navigation devient houleuse, bon j'arrête sur les allégories ou métaphores je ne sais plus je me demande tout simplement si mon homme m'aime il est si distant, si froid, si egoiste, si blessant parfois que je ne peux que comprendre qu il ne ressent rien pour moi il n'a de l'attention que pour notre fils ce qui est bien mais moi je n'existe pas, j ai l'impression de ne pas aovir le droit de dire quoi que ce soit sauf pour exprimer de la satisfaction mais les sentiments négatifs il n'en veut pas! j en ai assez de vivre sur la banquise!! aucun geste tendre, il ne prend pas dans ses bras, ne me dis aucun mots d'amour, il ne fait meme plus attention à ma présence, j ai l'impression d etre invisible et qu il est devenu sourd.... ce we il nous a pourri le we car il avait un rhume avec mal à la gorge, il ne fallait pas de bruit les enfants font du bruit il c montrer pas tres cool, il boude, rouspete, soupir, c ça la vie à deux? en plus des que je lui parle de nos disonances tout est de ma faute, je ne sais pas comment il s'y prend mais à chaque discussion il arrive à faire tourner la situation à son avantage en se posant en victime et je suis évidemment la grande coupable de notre mal être en couple!!! du coup à chaque fois je prends le coup en pleine face et la grosse remise en question arrive et je culpabilise, je me trouve envahissante, je m'en veux de lui reclamer de l'amour, de la tendresse, de l'attention et de l'écoute, du soutien. mais un couple c ça non, il me demande de l'accepter tel qu il est avec ses besoins, chose que j'essaye de faire au mieux en essayant de conjuquer ses envies avec les miennes et vous qq1 à t il connu ça?
Spartiate th Grand Maître 1 4 Avril 2011 1 ...les gens qui se servent de la rillette en creusant sous la couche de graisse; la rendant ainsi instable. la guepe qui pique Grand Maître 2 4 Avril 2011 2 ...les gens qui t'annoncent qu'ils ont seulement 5,50 euros en poche une heure après avoir prit l'autoroute, pour aller passer un week-end en Espagne... sinon pour la rillette, je fais ça que tu n'aimes pas [-xtreme-] 4 Avril 2011 4 ... l'OM, l'OL, le PSG, ni tous les autres footeux de merd* LaMoufetteEnColere Grand Maître 5 4 Avril 2011 5 ..les bruits mouillés quand 2 niais namoureux se bouffent la langue dans les films. 6 4 Avril 2011 6 ... les gens qui se plaignent sans arrêt. 7 thewonderous flan-man Grand Maître 8 9 4 Avril 2011 9 ... avoir tort sans raison, et avoir raison sans tort. 4 Avril 2011 10 .. que Xiiime, ce si beau lettré, écrive "tord" au lieu de "tort" ! 11 4 Avril 2011 11 Fichtre! Au temps pour moi! Merci de me reprendre. Jusque tout à l'heure, je ne supportais pas les gens qui distribuent des tracts dans la rue. Mais là , le tract concernait un cocktail alcoolisé gratuit sur présentation du bon sans achat obligatoire ni rien. J'ai marchandé un peu, j'en ai obtenu neuf. Maintenant je les aime bien. la guepe qui pique Grand Maître 12 4 Avril 2011 12 c'est vrai ça, sinon on dirait "et le tordu" et ça ne veut pas dire la même chose que "le tortue"... 13 4 Avril 2011 13 Merci, la guêpe, pour ce moyen mnémotechnique que j'utiliserai désormais. la guepe qui pique Grand Maître 14 4 Avril 2011 14 sinon, dans la famille "je ne supporte pas", les vieux qui te beuglent dans la face que les places assises sont pour eux en faisant des laïus sur la jeunesse dépravée. le fait d'être âgé ou handicapé ne te donne pas le droit d'être désagréable! 4 Avril 2011 15 Je ne supporte pas le fait de supporter beaucoup de trucs, genre "woooaaah paf ça vient de passer". Je ne supporte pas non-plus le fait de s'exprimer de façon étrange et pas du tout claire pour des des trucs qui n'ont pas de sens. Quand c'est sans dessus-dessous, c'est insupportable. Je ne supporte pas l'insupportable, que retournent les limites de l'acceptable au delà de ce que l'on peut supporter, quand tout se porte et se supporte dans tous les sens, quand ce sens disparaît. À ce moment là supporter devient insupportable, mais supporter l'insupportable implique d'insupporter le supportable. Hum'voilà . 16 4 Avril 2011 16 ... le bruit , les hamsters , les clowns, les insectes volant , les crocodiles, les gens qui "slurp" en buvant , qui piaffent en mangeant, ceux qui se rongent les ongles en crachant les morceaux par terre, ceux qui reniflent a te faire gerber, les nanas qui portent des chaussettes avec des escarpins ainsi que celle qui portent des chaussettes ou collant avec des chaussures ouvertes. ... l'intolérance, la connerie, les faux cul, les " j'ai tout vu tout fait" , la mauvaise foi, l'inconscience , la plupart des jeunes qui postent dans S/A. ... les gens qui ne savent pas ce qu'est le "second degrés" Je reviendrai plus tard pour la suite. 17 4 Avril 2011 17 ...valyann qui reviendra plus tard pour la suite 18 4 Avril 2011 18 Freemaster ...valyann qui reviendra plus tard pour la suite Comment ça tu ne me supportes pas?? 19 4 Avril 2011 19 pas toi mais que tu aurais une suite pour plus tard LaMoufetteEnColere Grand Maître 20 4 Avril 2011 20 ...les noobcampers qui te headshot sur le respawn.
L’ecstasy extasy ou MDMA 3,4-méthylène-dioxy-méthylamphétamine est une phényléthylamine de synthèse. C’est un stimulant du système nerveux central qui possède des caractéristiques psychédéliques. Il est classé comme stupéfiant dans de nombreux pays dont la France. L’ecstasy est vendue habituellement sous forme de comprimés ou de capsules à avaler. Elle est également vendue en poudre, les comprimés peuvent être écrasés puis reniflés. Bien que cette pratique soit rare, cette drogue peut aussi être injectée. Les comprimés d’ecstasy sont de forme, de taille et de couleur différentes. Ils sont souvent estampillés d’un logo comme un papillon ou un trèfle, ce qui leur donne l’apparence d’un bonbon. Ce marquage des comprimés d’ecstasy ne constitue pas une preuve de la qualité de la drogue, car il est possible que divers fabricants utilisent le même logo. Les imitations de mauvaise qualité sont répandues. Il est possible que des comprimés vendus sous le nom d’ecstasy ne contiennent pas de MDMA. Les usagers d’ecstasy recherchent la sensation d’énergie, de performance et la suppression de leurs inhibitions les blocages, les défenses et les interdictions tombent. A l’effet de plaisir et d’excitation s’ajoute une sensation de liberté dans les relations avec les autres. Les effets de l’ecstasy L’ecstasy provoque tout d’abord une légère anxiété, une augmentation de la tension artérielle, une accélération du rythme cardiaque et la contraction des muscles de la mâchoire, la peau devient moite, la bouche sèche. Suit une légère euphorie, une sensation de bien-être et de plaisir. Elle s’accompagne d’une relaxation, d’une exacerbation des sens et d’une impression de comprendre et d’accepter les autres. L’usage de l’ecstasy provoque une déshydratation de l’organisme, d’où la nécessité de maintenir une hydratation suffisante, surtout si le consommateur se trouve dans une ambiance surchauffée et fait un effort physique important. Les effets de l’ecstasy à moyen terme Il arrive que l’usager ressente, trois ou quatre jours après la prise, des passages à vide qui peuvent provoquer des états d’anxiété ou de dépression nécessitant une consultation médicale. Les effets de l’ecstasy à long terme Une consommation régulière et fréquente amène certains à maigrir et à s’affaiblir. L’humeur devient instable, entraînant parfois des comportements agressifs. Cette consommation peut révéler ou entraîner des troubles psychiques sévères et durables. Les dangers de l’ecstasy pour votre santé En cas d’association avec d’autres substances, les risques sont accrus. Les risques de complication semblent augmenter avec la dose avalé, la composition du produit et la vulnérabilité de l’usager. Les personnes qui suivent un traitement médical s’exposent à des effets dangereux, à cause des interactions médicamenteuses qui risquent de se produire, notamment avec l’aspirine, certains médicaments anti-VIH et certains antidépresseurs. Les personnes souffrant de tension artérielle élevée, de problèmes de cœur ou de foie, de diabète, d’épilepsie ou de n’importe quel trouble mental sont particulièrement vulnérables aux dangers de l’ecstasy. Il peut aussi être toxique pour le foie, allant parfois jusqu’à la cirrhose. Il existe un effet retour ou flash back qui replace brièvement l’usager dans l’état généré par la consommation de la substance psychotrope sans en consommer, et ce plusieurs mois après la dernière prise. Plusieurs cas de syndrome hallucinatoire persistant ont été observés, à savoir Des angoisses Des phobies Un état confusionnel Une dépression Des bouffées délirantes aiguës. Certains travaux scientifiques tendent à mettre en évidence une possible dégénérescence des cellules nerveuses pouvant entraîner des maladies dégénératives troubles de la mémorisation à long terme ou des dépressions chez les consommateurs.
je ne supporte pas mon mec quand il a bu